THE LITTLE THINGS WE LOVE
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 (F) ACCOLA △ you can sit beside me when the world comes down

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AuteurMessage
Ashton D. Lowell-Strauss
Ashton D. Lowell-Strauss

ASHTON △ but my words like silent raindrops fell and echoed.


BOUGIES : 31
MESSAGES : 135
INSCRIT(E) LE : 16/12/2011
AGE DU PERSO : 29 ans
PROFESSION : rédacteur en chef
SITUATION : célibataire



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MessageSujet: (F) ACCOLA △ you can sit beside me when the world comes down   (F) ACCOLA △ you can sit beside me when the world comes down Icon_minitimeVen 16 Déc - 21:41


Hannah Kaelyn Ainsworth



“You tried to learn a lesson but you can't”


NOM & PRENOM(S) : Hannah Kaelyn Ainsworth. SURNOM(S) : au choix. ÂGE : 24 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : au choix à New-York. ORIGINE : américaine. ÉTUDES OU PROFESSION : journaliste. SITUATION : célibataire. GROUPE : CONFESSIONS OF A SHOPAHOLIC AVATAR : CANDICE ACCOLA NÉGOCIABILITÉ : négociable



Ҩ someone like me


❖ 001. extravertie. ❖ 002. dynamique. ❖ 003. déterminée.
❖ 004. têtue. ❖ 005. maladroite. ❖ 006. menteuse.
❖ IT'S MY LIFE : Hannah est née dans une famille New-Yorkaise pas très riche, elle vivait dans les bas quartiers de la ville et devait se contentait du minimum △ Elle est fille unique et pense que ses parents sont les meilleurs du monde et qu'ils ont toujours fait ce qu'ils pouvaient pour elle △ Depuis son plus jeune âge, elle passe devant les boutiques chics les yeux pétillants △ Son plus grand rêve est de devenir rédactrice en chef d'un célèbre magasine de mode △ la première fois qu'elle a reçu sa paye, elle a tout dilapider en vêtement △ Elle vit en collocation avec sa meilleure amie, a souvent du mal à payer le loyer et bénéficie souvent, trop souvent de la générosité de sa colocataire △ Elle accumule les dettes et trouve souvent des excuses bidons pour se justifier à son banquier △ Elle travaillait dans un magasine de jardinage mais a été virée quand la boite à fermé △ Elle travaille actuellement pour un magasine de presse à scandale.

Ҩ you and i, on the road for NYC

« Essayez donc avec cette carte là … » « Refusée … » « et cella là ? » « Idem » « Rho zut, attendez, je vais payer en liquide … Voilà déjà cent dollars … Vous voulez pas essayez de prendre les vingt-cinq restant sur cette carte là … » « Bien sûr … Refusée. » « Mais c’est pas possible … J’ai vraiment besoin de ces chaussures ! » « Oui, et moi j’ai vraiment besoin de ses vingt-cinq dollars … » « Mais c’est pour ma meilleure amie elle est malade, elle est à l’hôpital elle a vu ses chaussures sur votre magasine et elle a pleuré en disant qu’elle les voulait et qu’elle ne pourrait jamais venir les acheter avant que le stock soit épuisé, du coup je voulais lui faire ce cadeau … » « Trouvez vingt-cinq dollars … » Elle entendit un soupire las derrière elle, soupire qui la fit se retourner pour remarquer que la queue derrière elle était gigantesque. Elle jeta un coup d’œil à l’homme derrière elle, celui qui avait soupiré. « Ça va hein, vous comprenez pas à quel point j’en ai besoin ! » « Ho si croyez moi. Vous savez quoi ? Voilà prenez ça et dépêchez vous ! » Il lui tendit deux billets, vingt-cinq dollars précisément. « Ho mon dieu merci, je ne sais comment vous remercier … » « En libérant la caissière, ce sera déjà pas mal … » « Oui, bien sûr, merci beaucoup. » Voilà qu’elle avait acheté cette paire de chaussure, pour elle-même bien sûr, sa meilleure amie n’était pas du tout malade et elle n’était pas du genre à aller acheter une paire de chaussures à cent vingt-cinq dollars. Elle quitta rapidement la boutique pour aller les enfiler, elles étaient parfaites, elle était persuadée que grâce à elle, elle obtiendrait un poste dans cette grande boite de journalisme, cette grande boite qui regroupait les meilleurs magasines de la ville dont celui de mode le plus branché, en entrant dans cette boite, elle était sûre qu’un jour où l’autre elle obtiendrait un poste dans ce magasine.

« Mademoiselle Ainsworth ? Monsieur Lowell-Strauss va vous recevoir pour l’entretient, si vous voulez bien me suivre … » « Bien sûr … » La jolie blondinette suivit alors la secrétaire jusqu’au bureau du dit homme. Il la regarda de haut en bas, s’arrêtant plusieurs secondes sur ses chaussures, celles qu’elle venait d’acheter. Elle le fixa, devenant livide, avant de fixer elle aussi ses chaussures. « Vous portez les chaussures de votre meilleure amie ? » Elle sourit légèrement avant de s’installer sur le siège en face de lui. Le hasard faisait mal les choses parfois, beaucoup trop mal. « Heu, on se connait depuis des années, elle fait la même pointure et on a a peu près les même pieds, du coup, je les portes pour former la chaussure à mon pied, ainsi, j’aurais les ampoules qu’elle n’aura pas elle … » « Hum, quelle générosité. » « Alors, pourquoi est-ce que je devrais vous engager ? » « Je suis une journaliste compétente … je crois … » « Je vois que vous travailliez pour Gardens et Co, avant, c’est bien ça ? » « En effet … Ça faisait un petit moment que je bossais pour eux mais la boite à fermé … » « C’est là qu’agit la presse à scandale … Le directeur de Gardens et Co, voyait des prostituées, on l’a appris, on l’a publié, il a été obligé de mettre la clef sous la porte … » « Et nous autres, innocents, on a été virés .. » « Et ? Vous comptiez parler de jardinage toute votre vie ? Vous portez des chaussures à cent-vingt-cinq dollars, les gens portant des chaussures à ce prix là n’ont pas grand-chose à faire du jardinage … » « C’est vrai … » « Vous pensez être capable de vous regarder encore en face après avoir causé la faillite d’une grande entreprise ? Le chômage de tous ses employés ? » Non, sans doute pas. Mais elle avait besoin de ce poste. « Oui monsieur. » « J’ai lu vos articles, ils sont très bons, si le sujet était plus passionnant que le jardinage, ils auraient été parfaits, je vous prend à l’essaie. » « Vraiment ? Merci beaucoup … » « N’oubliez pas, nous ne détruisons pas les gens, nous ne faisons que dire des vérités que les autres boîtes tâchent d’ignorer. » Elle força un sourire. Dans le fond, il avait peut-être raison, en même temps, le commun des mortels n’en avait que faire que le patron de telle ou telle boite côtoie des prostituées, enfin, le magasine était réputé, c’était bon pour elle et pour son avenir au sein de cette boite.

« Vous êtes encore là ? » le jeune homme releva la tête de son ordinateur avant d’adresser un sourire à Hannah, elle était sur le point de partir et lui, il était toujours dans son bureau, bureau qu’il ne quitterait sans doute que très tardivement. « Oui …J’ai encore du boulot à terminé … » « Vous dites ça tous les soirs, j’arrive pas à comprendre comment vous faites. Plus vous bossez, plus vous avez de boulot … » « C’est à peu près ça oui. Vous avez terminé votre article ? » « Presque, je vous le remet demain matin … » « Parfait. Dites, vous avez quelque chose de prévu pendant la fashion week à Paris ? » « Heu, non je crois pas … Ça fait des années que je rêve d’y aller mais j’ai pas vraiment les moyens … » « Je dois y aller, il y aura des tas de personnalités haut placés, du style Delilah Smith, la directrice du magasine de mode, vous savez, au dernier étage du bâtiment … » « Oui, je sais parfaitement … Vous voulez écrire sur elle ? » « Ho oui, y a tellement de trucs à dire sur cette femme ! J’ai besoin de quelqu’un qui s’y connaisse un peu en mode et tout ça pour venir avec moi à cette fashion week. Ça vous intéresse ? » C’était encore mieux que si on venait de la demander en mariage. C’était un rêve qui se réalisait, un rêve qui avait un prix, celui de la tête de Delilah Smith alias la rédactrice en chef du magasine pour lequel elle avait toujours voulu travailler. C’était une proposition à double tranchant, si elle venait avec lui, son nom apparaitrait sans doute dans l’article qui détruira la carrière de Delilah, ainsi, elle ne pourrait plus espérer bosser un jour pour ce célèbre magasine. Mais en même temps, c’était la fashion week, voyage payé, hôtel de luxe tout autant payé, les nouveaux modèles juste devant elle, un autre de ses rêves de petite fille, un rêve qui contrairement au second ne dépendait que de sa réponse. Elle hésita, le temps de réfléchir et finalement, elle accepta. C’était parti pour Paris.

« Hannah ? » « Oui monsieur ? » « Je voudrais que tu écrives cet article … » « Lequel ? » « Sur Delilah Smith … » « Je … Je saurais pas quoi écrire … » « Enfile ça et tu verras … » il lui tendit un sac sur lequel figurait le nom d’un grand couturier, elle l’ouvrit pour découvrir cette robe devant laquelle elle avait presque bavé durant le défilé de la vieille. Elle observa la robe avant de regarder son patron. « Vous ne pouvez pas m’offrir ça … » « Je peux vous offrir ce que je veux Hannah, c’est le principe du cadeau. Vous aviez l’air de l’apprécier alors elle est à vous, tout comme les chaussures à cent-vingt-cinq dollars que vous n’avez jamais donné à votre meilleure amie … » « Son fiancé les lui a offert avant moi. Merci beaucoup » Des excuses bidons, toujours et encore, c’était tout à fait elle. Elle enfila la dite robe avant de l’accompagner à un diner mondain pour aller espionner la fameuse Delilah sur laquelle elle apprit rapidement tout un tas de trucs pas forcément très reluisant. Alors qu’elle discutait avec la femme qu’elle avait longtemps admiré, Ashton avait disparu, mais il fallu peu de temps à Hannah pour le retrouver après cette soirée, dans le bar de l’hôtel où ils étaient logés. « Monsieur Lowell-Strauss, qu’est-ce que vous faites ici ? » « Hm, je bois. » « J’ai cru remarquer oui … » « Je vous paie un verre ? » « J’espère que vous ne me demanderais jamais de vous rembourser pour tout ce que vous m’avez payé … » « Vous inquiétez pas pour ça … Alors Delilah Smith ? » « Elle me semble un peu moins parfaite aujourd’hui … Les gens ont beaucoup parlé d’elle … La plupart disent qu’elle devrait déjà être à la retraite depuis longtemps … Elle a quel âge à votre avis ? » « Cinquante-sept ans … » « Précis. Rares sont ceux connaissant son vrai âge … » « Qu’est-ce que tu as appris d’autre ..?» « Elle est la femme la plus divorcée que je connaisse, six mariages ratés et un sur le point de flamber … » « Ouais … Elle a toujours privilégier sa carrière à tout le reste … » « Comme vous non ? » « Comme moi. Il est temps que ça se termine … » « Pour elle ? » « Peut-être pour moi aussi … » « Comment ça ..?» « Son premier mariage était avec un dénommé John Strauss, elle a eu un enfant avec lui, mais elle les a laisser tomber pour une promotion … Elle n’est jamais revenu, elle n’a jamais ne serait-ce que donner un signe de vie à son fils … » « Mais il l’a retrouvée n’est-ce pas ? » « Sans doute oui … » « Et il a travaillé dur pour l’anéantir parce qu’elle l’a abandonné … » « Ouais … » « D’où vient le Lowell de votre nom ? » « Nulle part. C’est juste Strauss, le nom de mon père, Lowell c’est rajouté, comme un nom de scène » « Comme pour pas qu’elle ne reconnaisse ce Strauss … » « Exactement … » « Je n’écrirais pas cet article Monsieur … » « Tu dois le faire … Elle sera virée, en vengeance elle me fera virer et tu auras mon poste … » « Ça ne m’intéresse pas …. » « Où le sien peut-être … » « Celui de Delilah ? Je pense pas non … Même, je ne peux pas vous faire ça … » « J’ai travaillé dur pour qu’un jour la vérité sorte sur cette femme … C’était mon seul objectif … » « Ne dites pas ça, vous valez mieux que le type qui travaille juste pour détruire sa mère et qui laisse tomber après, vous savez quoi, je vais le publier cet article, mais votre nom n’apparaitra jamais dedans, si elle veut s’en prendre à quelqu’un ce sera juste moi. » « Et personne ne virera ma meilleure journaliste … » « Vous exagérez … » « à peine … » C’était assez bizarre comme situation, ils étaient soudainement devenu incroyablement proche, comme si plus rien ne pouvez désormais les séparer, si bien que cette nuit, ils la passèrent dans le même lit. Une nuit qui annonça le début d’une relation qui malheureusement ne dura pas. Elle publia son article, Delilah fut virer et les portes de son magasine lui furent fermées, mais tant pis, elle était bien avec Ashton, elle avait trouvé mieux que la mode avec lui. Seulement, leur relation commençait à être mal vue alors il a décidé de rompre, par ambition sûrement, un simple message sur un répondeur et maintenant elle n’arrive même plus à lui adresser la parole tellement il est pris par le boulot, pourtant, il la regarde depuis son grand bureau au mur de verre. Il l’observe en silence, coucher avec une de ses employées l’aurait fait virer, et coucher aurait été le mot qui serait sorti, dans la presse à scandale il n’y avait pas de possible histoire d’amour. Oui, c’était une histoire d’amour qui les avaient liés et qui les liés encore aujourd’hui, un amour silencieux masqué par une trop grande peur du côté d’Ashton et une trop grande rancœur du côté d’Hannah.





Dernière édition par Ashton D. Lowell-Strauss le Sam 17 Déc - 15:16, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (F) ACCOLA △ you can sit beside me when the world comes down   (F) ACCOLA △ you can sit beside me when the world comes down Icon_minitimeSam 17 Déc - 13:09

SCENARIO LIBRE ET TERMINÉ.
Tout d'abord, merci à la personne qui prendra ce scénario, il est un peu long, mais merci de tout lire pour bien être au point sur la relation entre Hannah et Ahston. Que la personne qui prendra ce scénario sache que je l'aimerais toute ma vie ♥ Les prénoms sont négociables, le nom également et puis Candice aussi (a) J'aimerais juste qu'on me demande mon avis avant quand même (a)
Si vous avez des questions, n'hésitez pas ♥
Voilà, bien sûr j'aimerais quelqu'un d'actif, qui fasse des bons Rps pas forcément 4 pages, mais qu'il y ait matière à répondre quoi (a) Quelqu'un qui fasse pas trop de fautes non plus si possible tout le monde peut en faire, moi la première mais quand même (a)
Voilà, merci d'avoir pris le temps de lire tout ça ♥.
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