Heaven Mary Ritter

“ And truth be told I miss you, and truth be told I'm lying... ”

NOM & PRENOM(S) : Heaven Mary Ritter. SURNOM(S) : Ivy. ÂGE : Vingt quatre ans ici. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 17 Fevrier 1987 dans le Michigan. ORIGINE : Américaine. PROFESSION : Assistante de direction dans une maison d'édition. SITUATION : célibataire. GROUPE : CRAZY STUPID LOVE. AVATAR : Sophia Bush

Ҩ Mon portrait chinois

❖ un animal : Le chat. ❖ un oiseau : Une Maysange. ❖ un monstre : Un vampire. ❖ une saison : L'été. ❖ une fleur : Une rose Rouge. ❖ un fruit : La pomme. ❖ un plat : Une calezone. ❖ un parfum de glace : Vanille. ❖ une couleur : Bleu. ❖ une chanson : Dance inside - AAR. ❖ un livre : La lettre écarlate. ❖ un film : N'oublie Jamais. ❖ un endroit : une forêt. ❖ une ville : Montréal.

❖ une planète : Neptune. ❖ un sentiment : La rancune. ❖ un défaut : impulsive. ❖ une qualité : généreuse. ❖ un art : la musique. ❖ une langue : l'anglais. ❖ une fête : Halloween. ❖ un objet : Une caméra. ❖ un élément : Le feu. ❖ un péché capital : La gourmandise. ❖ un jeu : Le Poker. ❖ un chiffre : le sept. ❖ une expression : "Bordel de tête à cul". ❖ un verbe : Vivre.

Ҩ mon caractère, mes tocs, mes manies ...

❖ 001. Douce. ❖ 002. Amusante. ❖ 003. Optimiste.
❖ 004. Impulsive. ❖ 005. Franche. ❖ 006. Maladroite.

❖ LIKE A VOODO O HONEY : Heaven est une jeune femme croyante non pratiquante et se rend en général tous les dimanches dans le Bronx à l'église, elle fait même partie d'une chorale Gospel où elle y chante un solo de temps en temps. La jeune femme a un fort caractère, enfin, un caractère merdique il faut l'avouer, mais elle n'est pas si difficile à vivre. Heaven est une femme très impulsive, jalouse et possessive, quand on la pousse à bout c'est une copie conforme de Rambo que l'on a en face de sois. C'est une fausse calme, mieux vaut se méfier de l'eau qui dort. Heaven mesure un mètre soixante dix neuf pour cinquante deux kilos, autant dire qu'elle n'est pas épaisse pourtant le matin elle adore se préparer des tartines de chocolat avec du lait chaud chocolaté et des chamallow's dedans. Elle est dingue de ses chats qui s'appellent Prout et Poo, allez savoir pourquoi elle les à appelés comme ça. Il arrive à Heaven de se taper sur le haut du crâne pour se faire rétrécir, mas cela ne marche jamais.
Elle est assez théâtrale, ce que lui reprochent les gens qui ne l'apprécie pas, d'ailleurs quand elle parle elle accompagne ses paroles avec des gestes, enfin ce sont plus ses mains qui bougent. Heaven adore faire la fête, elle est toujours joyeuse et toujours partante, c’est une vraie pile électrice. Bien évidemment elle ne montre pas ce qu’elle ressent réellement, elle est comme un mur, ou un espèce de bouquin poussiéreux et ancien, ça signifie qu’elle arrive à a tout esquiver, elle est assez difficile a cerner. La jeune femme a du mal avec les enfants, elle en veux un jour mais elle n'aime pas ceux des autres, ceux qu'elle ne connais pas. Ils ne se comprennent pas, elle a passer l'âge de jouer à la dinette voilà-tout. Elle est dingue de musique, c'est une vrai mélomane, c'est grâce à la musique que son "problème" est passé, étant bègue plus jeune, sa mère la postait devant la radio et lui faisait écouter du Aretha Franklin, elle est très cultivée musicalement et cinématographiquement aussi. Heaven est une jeune femme simple, aussi bien qu’elle vit dans un appartement assez simple et pourtant très bien décorer néanmoins elle ne vit plus chez ses parents depuis l’âge de dix neuf ans, elle a fait ses études à New-York dans l'Upper West side & Vit maintenant dans le Bronx.

PSEUDO : LittleRock PRÉNOM : Rebecca. ÂGE : 17 ans. PAYS : France. PRÉSENCE : 7/7. OÙ AS TU TROUVÉ LE FORUM : sur Bazzart. TON AVIS DESSUS : J'adore la déco et les CSS sont géniaux. CODE RÈGLEMENT : then i'm grew up. TON MOT DE LA FIN :

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[color=chocolate]❖[/color] <span class="réservée">SOPHIA BUSH</span> - [size=10]Heaven M. Ritter[/size]

“ You don't have to move, you don't have to speak... I'll be fine, you'll be fine, this moment seems so long, don't waste now precious time and dance inside the song. ”

On a tous une histoire...

Je me réveille à cause du bruit des voitures, vive le Bronx, je regarde mon téléphone que j’ai posé près de mon oreiller avant de m’endormir comme une masse, mais par terre. Je vois qu’il affiche huit heures et demis et je fais un bond, mes yeux s’écarquillent et je commence à m’agiter, embarquant mon téléphone avec moi, je commence à courir partout avant de me rendre compte qu’on est samedi, et que par conséquent, je ne travaille pas aujourd’hui. Mes affaires dans les bras je soupire de soulagement et je dépose ce que j'ai dans les bras sur une petite table et je me rends dans le salon, j’allume la télévision et je mets les dessins animés, oui parce que je trouve ça plus sympa pour se réveiller, en me retournant je constate que Michelle - ma meilleure amie - s‘est endormie habillée sur mon canapé et des cadavres de bouteilles de vin gisent sur la table basse - étrange -. Je vais dans la cuisine et je prépare une tasse de chocolat chaud, je la me dans le micro-ondes et j’attends, je suis active et je le sens, pourtant on est samedi et je sais qu’aujourd’hui je n’ai rien à faire de très spécial. *ding* mon chocolat est prêt, j’ouvre la porte et je le prends, naturellement je me brûle en touchant l’anse de la tasse, une grimace vient s’incruster sur mon visage. Je bois une petite gorgée de peur de me brûler et en passant ma main dans mes cheveux je me rends compte que mon appartement ressemble à un champ de bataille, j’ai oublié qu’hier j’ai organisé une petite sauterie avec des amies et qu’elles sont parties en me laissant dormir sur le plancher à côté de mon lit et sans ranger naturellement. J’ai rarement des trous noirs comme celui-ci, j’ai vraiment dû être dans un sale état hier, tant mieux que je ne me rappelle plus de ça. Je vais enfiler mon peignoir et je commence le ménage, jetant toutes les bouteilles, vidant les cendrier, d’ailleurs dans mon appartement l’odeur de tabac froid est presque insoutenable et j’ai des relents de rats crevé dans la gorge. Puis j’entends alors mon téléphone vibrer, impossible de me rappeler où je l’ai balancé celui-là, je fronce les sourcils et en fouillant d’avantage je finis par le retrouver sous ma pile de fringues. « Ma puce ? » « Maman, ca va ? » Ma gorge est comme encombrée, je sens cet épais filet de cochonneries rendre ma voix rauque. « Oui et toi ? » Je racle ma gorge en grimaçant. « Je … ouais, ouais ça va… » « Bon alors ce vendredi soir, comment étais-ce ? » « Boarf, un vendredi soir tout ce qu’il y a de plus normal ! » Dis-je d’une voix enjouée en donnant un coup de pied dans une boîte de pizza vide. « Un vendredi soir ce qu’il a de plus normal a New-York, tu te moques de moi ! » « Non, non j’ai fais… On a fêté un anniversaire ! » « Oh l’anniversaire de qui ? » « Celui de… Michelle ! » « Je croyais que c’était en février son anniversaire. » « Ha … Toi aussi ?! »
« Tu ne te drogues pas au moins ?! » « Maman ! »
« Non je posais juste la question… » « Ca va t’es sure ? » « Ha ben voyons c’est la meilleure celle-là, au fait le père Andrew m’a dis que tu n’allais plus a l’église et… » Et à ce moment très précis le souvenir de ma soirée resurgit, enfin, si ca s’était vraiment passé je ne crois pas mais je sais qu’a un moment j’ai eu un entretien avec dieu, je devrais vraiment être très mal. Je me rappelle m’être étalée le long du planché juste à côté de mon lit puis c’était comme si j’avais été transporté, tiraillée entre l’envie de vomir et celui de tomber dans les pommes. Il y eu un brouillard blanc et je m’étais redressée, j’étais dans une immense pièce blanche et au bout de cette pièce se trouvait une immense porte a battants, elle était en or, je m’en souviens. Devant cette porte se trouvait un homme en costume noir et blanc, au dessus de sa tête il y avait un anneau en plumes qui scintillait, je m’avançais alors vers lui d’un pas hésitant. « Excusez-moi, je pourrais savoir où je suis ? » « Nulle part… Pour le moment. » « Attendez, qu’est-ce que ça veux dire ça ? » « Ca devrait bientôt être a vous. » Je regardais autour de moi, tout était vide, une légère brise venait caresser mon visage et je regardais de nouveau l’homme en costume avec son anneau en plumes. « Génial, mais encore, qu’est-ce qui va être a moi ? » «Il va vous recevoir. » « Qui ça ‘’IL’’ ? » je le fixais avec mon air énervé habituel quand je percutais que ce IL c’était le tout puissant. « Oh mon dieu, je suis morte ?! » « Le vocabulaire des mortels hein…» il m’avait regardé avec cet air réprobateur. « Oh pardon… » je grimaçais avant de réaliser que j’étais morte. « Hé mais la lumière au bout du tunnel et toutes ces conneries c’est pas vrai, j’ai pas vu de tunnel en arrivant, j’en ai pas traversé non plus ! » « Parce que vous êtes arrivée en express. » « Quoi ?! » et il esquissa un sourire alors que moi je plissais les yeux. « Et ca vous fait rire ? » je m’approchais de lui et je lui ôtais son anneau de plumes scintillant. « Haha ! On fait moins le malin maintenant ! » Il s’approchait de moi l’air déconcerté et je tendais le bras en l’air pour qu’il ne puisse l’attrapé. « Rendez… Rendez-moi ça ! » J’ouvrais la bouche pour lui répondre mais une drôle de cloche retentis et les battants de la porte commencèrent à s’ouvrir, je regardais l’homme et je lui rendais son anneau, je tentais de m’arranger. Je passais ma main dans mes cheveux ajustant ma robe et j’avançais vers la lumière éblouissante que dégageait la porte à battants. J’avançais en cachant a demis mes yeux tellement la lumière était forte puis une fois les battants refermés je me trouvais dans un bar qui était presque désert, a une table se trouvais un homme avec une barbe. Je regardais autour de moi et je déduisais donc que c’était LUI.

Je m’installais, croisant les bras sur la table, je me mordais les lèvres et je fixais les carreaux de la nappe. Il y avait dû y avoir du passage parce qu’elle n’était pas très propre. « Je ne vous demande pas de vous asseoir, je vois que vous n’en avez pas besoin. » avait-il dit d’un ton sec, mes yeux étaient devenus ronds et je m’enfonçais dans mon siège très gênée, il avait un stylo et un dossier sous les yeux, il ouvrit ce dernier et il me regarda. «  Bien alors nous allons commencer… » «  Excusez-moi mais… Commencer quoi ? » « L’étude de votre dossier. » dit-il d’un air évident et je hochais la tête bêtement. «  Ha oui évidemment suis-je bête. » « Une bière ? » me demanda-t-il. «  Non merci… » « D’accord. » Il fit signe à la serveuse et tourna de nouveau le regard sur moi. « Bien alors commençons… Heaven Mary Ritter, née le 17 Février mille neuf cent quatre vingt sept dans le Michigan.  » «  C’est ça oui. » « Parents toujours mariés, fille unique de Christopher Ritter et Angeline Gaylor… » « Oui. » « Ha je vois ici que tu n’as commencé à parler qu’à l’âge de quatre ans et qu’en plus de ça tu étais bègue… une cas-s.o.s non ? » « On se demande qui m’a créée hein. » il me lança alors un regard noir et but une gorgée de sa bière. « … Je vois que tu as été au catéchisme étant petite, bien, bien… » Il gribouillait sur sa feuille et j’essayais de voir mais c’était impossible.
« Une communion a l’âge de dix ans, très bien… Tu as même fait partie des enfants de chœurs… » Ouais, une période de ma vie ou mes parents étaient fond sur le fait qu’il fallait que ma culture soit parfaite, et même au niveau de la religion. «  De très bonnes notes et une bonnes élève en générale, bien, bien… » « Oui je…  » Mais il me coupait. «  Chut ! » puis il se remit à écrire et je mordais ma langue. «  Tu as perdu ta virginité à l’arrière d’une voiture au lycée, des explications ? »
« Oui, c’était avec le quater back de mon lycée, j’étais donneuse de claques a cette époque, il a été mon premier amour. Je croyais en nous, j’ai eu un énorme coup de cœur pour lui dès le début d’année et nous sommes restés ensemble deux ans presque. » «Et le livre sacré, tu le lis seulement quand tu es sur le trône ou bien tu te torche avec ?  » « Je vous demande pardon ? » « Pardon accordé. »
« Non mais… » Il me coupait de nouveau. « Je vois un nom d’écris… Gabriel ou peut-être… Ezeckiel… » Il grimaçait en tournant sa feuille dans tous les sens. « Oui, Gabriel… » Je jouais nerveusement avec mes doigts. «  Bah alors… Raconte tout à papa mon enfant ! » « Il n’y a rien à dire. » dis-je sèchement pleine de rancœur. « Bien dans ce cas… » Il commençait à refermer mon dossier. «  Non ! Non… D’accord, lui je l’ai rencontré à l’université et nous sommes tombés amoureux, enfin, je n’étais que son faire valoir. J’étais totalement dingue de lui, mais lui ce n’étais pas le cas, j’ai été un amusement pour lui, il voyait d’autres femmes, il s’amusait, il me faisait du mal… On se disputait souvent et j’en ai pris littéralement plein la face à cause de lui, il… Il se montrait assez violent et possessif avec moi, c’est pour lui que j’ai emménagé à New-York mais notre relation s’est rapidement terminée, j’ai même porté plainte contre lui. » Il continuait de gribouiller sur sa feuille, et mon cœur se serrait, je le haïssais, mais tout cela était du passé j’étais même allée de l’avant depuis ça. « Bien, une dernière chose encore… »
« Oui ? » « [clor=#bbbb77]Je vois de l’alcool et de la drogue, des explications à me donner là-dessus ?[/color] » « Alors pour la drogue j’ai essayé une fois, oui, bon et de temps en temps d‘accord ! Mais c’est tout et l’alcool hé bien… Dès que je fais la fête j’en bois mais ça se termine là. » « Bien… » Il terminait sa bière d’une traite en refermant mon dossier. «  Alors… ? » « Alors quoi ? » « Enfer ou paradis ? » Il eu ce sourire de sadique et je ne donnais pas cher de ma carcasse, j’étais morte et j’allais brûler en enfer pauvre de moi. «  Paradis. » lança-t-il simplement. Je me levais de mon siège toute fière de moi, j’avais envie de sauter partout quand il attrapa mon poigné et le secoua légèrement. « Interdiction de consommer le sang du christ hein. » je souriais en hochant la tête de haut en bas.
J’entends alors quelqu’un crier mon nom, mais c’est comme si c’est lointain quand je prends conscience qu’en fait je suis actuellement au téléphone avec ma mère que je n’ai pas écouté une seconde. « Heaven tu m’écoutes oui ? » hurla-t-elle. « Oui, oui maman, excuse moi je te rappelle plus tard, je suis assez occupée là, je t’aime. » je raccroche alors machinalement avant de sortir Michelle du canapé. «  Quoi ? Quoi ? » Dit-elle avec une petite voix endormie. «  Rappelle moi de ne plus jamais fumer ce que tes potes ramènent ! »