Ophelia Leila, Faust

“Il faut foncer quand on le peut. On a pas toute la vie pour conquerir son rêve, bon sang. Ce n'est pas le temps qui reste qui compte, c'est ce qu'on en fait.”

NOM & PRENOM(S) : Ophelia Leila Faust SURNOM(S) : Ophé ÂGE : Trente ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : le 1er juin 1981 à Toronto ORIGINE : Canadienne ÉTUDES OU PROFESSION : Musicienne SITUATION : Célibataire. GROUPE : Black Swan. AVATAR : Natalie Portman

Ҩ Mon portrait chinois

❖ un animal : Une gazelle. Parce que c’est gracieux, c’est beau et ça peut être un gibier difficile à capturer. ❖ un oiseau : Une colombe. Signe de paix. Je déteste les conflits. ❖ un monstre : Un vampire. Séduisant et dangereux. ❖ une saison : Le printemps. La saison la moins complexe du calendrier. C’est là fin de l’hiver, la neige fond et les fleurs se réveillent c’est un moment magnifique je trouve. ❖ une fleur : L’orchidée. Douce fleur aux couleurs diverses. ❖ un fruit : La fraise. Fruit sensuelle et délicieux. ❖ un plat : Une pizza ? ❖ un parfum de glace : Chocolat pour la gourmandise. ❖ une couleur : Le bleu. ❖ une chanson : Still Loving You de Scorpions. ❖ un livre : Roméo et Juliette de Shakespeare ❖ un film : Shining de Stanley Kubrick ❖ un endroit : Le bord de mer ❖ une ville : Madrid.

❖ une planète : Venus. ❖ un sentiment : La passion. Sentiment tellement plus important que l’amour. ❖ un défaut : La rancune. Parce qu’une vie peut être remplie de rancune. ❖ une qualité : Générosité. Donner aux autres c’est se rendre heureux aussi. ❖ un art : La musique. C’est toute ma vie. ❖ une langue : L’espagnol. Une langue que j’affectionne plus que tout. ❖ une fête : J’aime pas les fêtes, ce n’est que du commerce. Chaque jour peut être une fête si on est entouré des bonnes personnes. ❖ un objet : Mon piano. Seul objet que je ne donnerais sous aucun prétexte. ❖ un élément : Le vent. Qu’il soit chaud ou froid. Qu’il soit violent ou lent il est apaisant. ❖ un péché capital : La gourmandise. Le plus doux des péchés ❖ un jeu : Le poker. ❖ un chiffre : Dix neuf. ❖ une expression : Tu me fais chier. ❖ un verbe : Jouer.

Ҩ mon caractère, mes tocs, mes manies ...

❖ 001. Persévérante ❖ 002. Sensible. ❖ 003. Dynamique.
❖ 004. Impulsive. ❖ 005. Rancunière. ❖ 006. Têtue.

❖ LIKE A VOODO O HONEY : ∆ Lorsque je suis anxieuse ou très mal à l’aise je passe ma main dans mes cheveux en mordillant mes lèvres. Je fais cela depuis que je suis très jeune ce qui a tendance à faire passer le mauvais message aux hommes. ∆ Je suis fascinée par la pluie. J’aime sentir les gouttes froides se répandre sur mon corps et c’est toujours à ce moment précis que je sors à travers les rues afin de rester le plus longtemps sous la pluie. ∆ J’ai la désagréable habitude de fumer depuis que j’ai l’âge de quinze ans ce qui est un véritable calvaire pour mon cher frère qui ne supporte pas cette manie que j’ai prise derrière son dos. ∆ Je me nourris horriblement mal, pizza, hamburger, plat préparé mais je ne prends pas un seul gramme ce qui a tendance à agacer les femmes que je fréquente. ∆ Ma plus longue relation amoureuse à durer une année entière et je n’ai jamais osé dire à mon frère que cet homme m’avait demandé de l’épouser. Je l’ai quitté parce que je ne souhaitais pas perdre mon frère. ∆ J’ai recherché mon père pendant quelques années durant mon adolescence dans le plus grand secret sans grande conviction. Je voulais apprendre le pourquoi de cet abandon mais je ne l’ai pas trouvé. Je n’en ai jamais parlé à ma mère de peur qu’elle en souffre. ∆ J’ai toujours voulu un enfant mais la nature n’a pas voulu m’en offrir un, c’est à l’âge de vingt-cinq ans que j’ai appris que je ne pourrais jamais donner la vie. Ce coup a été particulièrement difficile mais là aussi je l’ai gardé pour moi. Personne ne sait que j’en souffre encore. ∆ Mon physique est un atout pour moi, non pour la séduction mais bien parce qu’on ne me voit pas venir. Derrière cette fragilité j’ai un caractère de feu et une hargne à rude épreuve. Je ne me laisse jamais faire. ∆ J’ai une sainte horreur de la vanille, parfum qui a le don de me donner la nausée et de violente migraine que je ne peux calmer qu’avec un grand bol d’air. ∆ Je préfère la nuit au jour, c’est d’ailleurs pour cela que je suis une insomniaque pure et dure. Couche tard et lève tôt seul quatre ou cinq heures par nuit me suffise pour affronter une nouvelle journée.

PSEUDO : écrire ici. PRÉNOM : Stéphanie ÂGE : 22 ans PAYS : France PRÉSENCE : 7/7 normalement OÙ AS TU TROUVÉ LE FORUM : Sur bazzart TON AVIS DESSUS : J'aime beaucoup le contexte, j'aime les couleurs froides et j'ai l'impression que je vais me plaire par ici. CODE RÈGLEMENT : then i'm grew up TON MOT DE LA FIN :

CODE RÉSERVATION AVATAR ❖ à remplir si vous voulez que l'on vous réserve votre avatar :

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[color=chocolate]❖[/color] <span class="réservée">NOM DE LA CÉLÉBRITÉ</span> - [size=10]prenom p. nom[/size]

“ Si on ne voulait qu'être heureux, cela serait bientôt fait. Mais on veut être plus heureux que les autres, et cela est presque toujours difficile parce que nous croyons les autres plus heureux qu'ils ne sont.”

tout le monde à une histoire à raconter

"Chapitre I. Ce qu'un père peut faire de plus important pour ses enfants, c'est d'aimer leur mère. "

Mon histoire ne commencera pas par un très joli il était une fois comme dans les contes de fées, non mon histoire commence simplement. Dans une maison à Toronto. Une famille pour le moins unit allait avoir un second enfant. Leur fils Casper avait déjà trois ans quand la mère de celui-ci est tombée enceinte. C’était une famille unit oui. Terriblement unit avant que je ne pointe le bout de mon nez. Je me suis toujours demandé si le départ de mon père deux ans plus tard ne venait pas de moi. Peut-être qu’il ne me voulait pas après tout. Sait-on jamais. Les adultes sont tellement compliqués parfois. Il voulait peut être un petit garçon, un autre et au lieu de ça il avait dû faire face à une petite fille frêle. Ma mère m’a dit que lorsque je suis née j’étais très sage, la plus sage de toute la maternité. J’ai jamais vraiment été une enfant turbulente bien au contraire, en grandissant j’embêter mon grand frère mais simplement parce que j’étais curieuse. Je voulais toujours être avec lui, savoir ce qu’il faisait, ce qu’il dessinait, ce qu’il regardait. Enfin j’étais un calvaire pour lui surement mais on ne se disputait pas vraiment. Ou des disputes sans aucun intérêt qui ne nous ont pas réellement marqué. Très vite j’ai dû apprendre à vivre avec une part de moi en moins, un morceau de mon cœur qui était parti en fumée un soir de décembre. Où est parti mon père ? Pourquoi n’est-il pas là pour me prendre dans ses bras ? Pourquoi je ne peux pas avoir de baiser comme avant ? Ou est ce père qui était censé nous protégé Casper et moi des douleurs de la vie ? Pourquoi a-t-il abandonné sa femme et ses deux enfants ? J’avais juste deux ans quand il est parti et je ne me souviens pas de grand-chose, son image est flouté par les années, il a disparu de mes souvenirs en douceur, j’ai oublié les mots qu’il me disait le soir avant que je dorme, les caresses qu’il m’offrait dans mes cheveux. J’avoue encore me posé la question aujourd’hui, qu’à t-il pu arriver à cet homme, ce monsieur Faust pour qu’il abandonne sa famille comme si nous étions que de simples dessins que l’on pouvait effacer d’un coup de gomme. Je crois que je lui en veux encore aujourd’hui, je crois que si je l’avais en face de moi je lui ferais du mal pour lui montrer ce que nous avions pu ressentir, nous, ces deux enfants. Casper est devenu ma bouée de sauvetage, mon frère, mon père, mon pilier. Je ne sais pas ce que nous aurions fait sans lui. Ma mère et moi, toutes les deux seules dans un monde parfois trop douloureux.



"Chapitre II. Le temps passe. Et chaque fois qu'il y a du temps qui passe, il y a quelque chose qui s'efface."

Les années se sont écoulés doucement, très doucement, comme lorsqu’un robinet est un peu ouvert et laisse couler quelques gouttes par heures. Je ne tenais pas en place, je n’arrêtais pas de bouger dans tous les sens, j’avais envie de voyageais, de voir le monde, de vivre. Ma mère ne comprenait pas vraiment ce qui me manquait, nous n’étions ni pauvre ni riche mais nous avions ce qu’il fallait. Du moins c’est ce que tout le monde pensait. Le problème c’est qu’il me manquait quelque chose d’important pour combler le vide dans ma poitrine. C’est lors d’une visite dans un magasin de musique à l’approche de mes six ans que j’ai compris ce qu’il me manquait dans la vie. Mon frère et ma mère étaient plus loin et moi j’avais flashé sur un magnifique piano, piano qui me faisait de l’œil depuis mon entrer dans la boutique. Je me suis approché, j’ai passé ma main sur les touches comme si je pouvais ressentir les vibrations de la musique à travers ce simple toucher et je me suis assise sur le banc un peu trop grand pour moi à l’époque. C’est ainsi que sans aucune raison mes doigts se sont mis à danser à travers les touches. J’étais comme en transe devant ce piano, je ne pouvais m’arrêter avant de terminer une symphonie que j’avais entendue plus tôt dans la journée. J’avais ça dans le sang, il était en train de bouillir alors que mon cœur battait au rythme de la mélodie. Lorsque ma mère s’est approchée avec Casper j’ai arrêtée de jouer consciente que j’allais me faire engueuler. Je venais de faire une bêtise. Une petite bêtise certes mais une bêtise quand même. « Tu me joues encore quelque chose ma petite puce ? » Je l’ai vue sourire. Un véritable sourire. Un sourire sincère et sans aucune tristesse, j’ai regardé mon frère de neuf ans pour que lui aussi me donne son approbation, son sourire à illuminé mon regard et j’ai recommencée mon jeu. C’était définitif la musique coulait dans mes veines aussi rapidement que mon sang. A partir de ce jour-là j’ai appris à jouer du violon et même de la guitare mais mon premier et unique amour restera le piano. Je le savais plus tard je deviendrais une grande pianiste. C’est ce que je souhaitais le plus au monde. C’est ce que je ferais. Même si je dois me battre pour cela.



"Chapitre III. J'ai fais tomber une larme dans l'océan. Je cesserai de t'aimer quand je la retrouverai."

Plus le temps avançaient et plus je me rapprochais de mon grand frère. La différence d’âge n’était plus un problème, nous étions proche, plus proches que les autres frères et sœurs je pense. S’il avait le moindre problème il pouvait se confier à moi et si j’étais malheureuse je faisais de même. Bien entendu très vite quand je suis devenue une adolescente il vérifié mes fréquentations, il regardait si ses amis ne me tournait pas autour, il hurlait sur les jeunes hommes qui louchaient un peu trop sur mon corps de jeune adulte. Et moi j’étais coincé avec un frère hyper protecteur qui ne voulait pas me laisser faire ma vie et avoir mes expériences. Quelles soient bonnes ou mauvaises. Lors de mes quinze ans je suis tombée folle amoureuse. Folle amoureuse du meilleur ami de mon frère, il avait dix-huit ans et pour Casper c’était bien trop déjà, j’étais encore une petite fille, un bébé d’après lui, alors que mes envies étaient loin d’être celle d’un bébé. C’est bien pour cela qu’un soir j’ai proposé à mon cher frère une nuit de camping entre amis. Il n’a rien vu venir alors que mon petit ami m’attrapait par le bras pour que l’on s’isole alors que Casper parlait à d’autres amis. « Camping ? T’es sérieuse là ? On ne va pas pouvoir se voir de toute la soirée si on est tous ensemble. » Mes lèvres ont rejoint les siennes alors que je prenais appuie sur la pointe de pieds. Je relâcher celles-ci en gardant cette proximité. « Je viendrais te rejoindre dans ta tente mon chéri… Cas’ ne le saura jamais. J’ai envie de passer une nuit dans tes bras… Dis oui s’il te plait… » Mon sourire l’avait fait fondre, j’étais légèrement manipulatrice à quinze ans. Et c’est ainsi que j’ai passé ma première nuit avec un homme. Casper dans la tente juste à côté n’a jamais appris qui avait pris la virginité à sa petite chérie. Heureusement qu’il ne l’a jamais su sinon le pauvre serait mort, et il m’aurait surement fait nonne. L’histoire d’amour entre ce jeune homme et moi avait pris fin un beau jour d’été, je n’avais pas eu le cœur brisé puisque nous avions pris des chemins différents.



" Chapitre IV. La douleur est extrême, lorsque l'on voit partir la personne que l'on aime."

Dix-neuf heures. Mercredi soir. J’ai vingt-cinq ans, je vis depuis quelques années déjà seule, j’avais besoin de prendre mon envole mais pour prendre celle-ci j’avais fait promettre à Casper que je le laisserais me téléphoner. J’ai atterrit à New York pour faire mes études et comme notre mère était morte mon frère m’a suivi pour ne pas m’abandonner. Je dois dire que depuis la mort de celle-ci j’ai besoin de lui. Néanmoins avoir besoin de lui ne veut pas dire un coup de téléphone à la même heure trois fois par semaine. J’arrête d’embrasser mon petit ami, cela fait un an ce soir que nous sommes ensemble et il vit pratiquement chez moi depuis. « Je dois décrocher mon cœur sinon Cas va rameuter tous le FBI pour voir si tu m’as pas égorgé dans un coin. » J’ai souris, l’embrasse une dernière fois et j’ai attrapé mon téléphone. Discutant ainsi avec mon frère exaspéré qu’il puisse nous dérangés une fois de plus alors que nous souhaitions passés une soirée en amoureux. Une bonne demie heure plus tard il abandonné le combiné et je pouvais rejoindre les bras de mon amoureux. « Tu devrais lui dire que l’on a d’autre chose à faire, on est adultes, on est amoureux, on vit ensemble, on a peut-être envie d’être seuls de temps en temps. » Mick n’appréciait pas la relation que j’avais avec Casper, il me trouvait trop proche de mon frère et semblait jaloux de notre complicité. Je soupire, prenant une cigarette et l’allumant. « C’est mon frère Mick, je l’aime, qu’est-ce que tu veux que je fasse ? » Il haussa les épaules et s’approcha de moi, se mettant à mes genoux posant ses mains sur mes cuisses dans un geste tendre avant d’ouvrir la bouche tout en sortant une bague qu’il me glisse dans la main. « Je veux que tu m’épouses. » Ma cigarette est tombée dans le cendrier qui se trouvait sous ma cigarette, les larmes me sont montés aux yeux avant que je ne puisse dire quoi que ce soit. « Mais… si tu deviens ma femme il faudra que tu me suives à Los Angeles. J’ai eu une place là-bas. » Mon sourire s’est soudainement envolé, il savait que je dirais non, il savait que je refuserais de quitter Casper et que je ne le laisserais pas abandonné sa place au FBI. Connaissant mon frère il abandonnerait cette place pour me suivre, pour me protégé. « Je… je peux pas. Cas… » Il m’arrête alors qu’il se lève du sol, je comprends qu’il en a assez et qu’il va me quitter, je reste cependant fière, je ne dis rien, je ne pleure pas même si mes larmes montent dans mes yeux. « Ton frère encore ??? T’en as que pour ton frère !! Faut grandir Ophé t’es plus une gamine merde, ton frère est grand, vous êtes deux adultes c’est l’heure de coupé le cordon !! Laisse-le se démerder seul un peu ! » Et bing. Une claque. Ma main était partie toute seule sur sa joue. Je n’accepterais jamais que l’on dénigre mon frère, jamais. « Tu veux quoi au juste ??? Que je dise à mon frère à celui qui m’a pratiquement élevée de dégagé de ma vie ??? Tu crois que je vais lui dire au revoir parce que tu as décidé de partir à Los Angeles sans m’en parler. Casper à arrêter ses études pour moi, il a sacrifié sa vie pour que je devienne celle que je suis aujourd’hui et ni toi ni personne ne me fera me détourner de mon frère compris ? » Oh oui il avait compris. Dans la minute qui a suivi je lui rendais sa bague et il partait. Pour toujours. Je me suis assise sur le canapé, j’ai fumée une cigarette, j’ai pris mon sac et j’ai pris la route. Direction son bureau. Je ne venais jamais et il savait parfaitement bien que si j’étais là ce n’était pas pour dire bonjour. « Salut Cas’ je… » Et j’ai fini par fondre en larme dans ses bras. Mon cœur était brisé. Mon cœur était détruit. Ma vie semblait vide. J’étais malheureuse pour la première fois de ma vie et j’avais l’impression que jamais plus mon cœur se ressoudera. Jamais plus je ne tomberais amoureuse.



" Chapitre V. "Si l'échec vous apprend quelque chose, vous n'êtes pas vraiment perdant."

Mon cœur a fini par cicatriser avec l’aide de Casper. Il m’a soutenu encore une fois et il n’a jamais su que j’avais abandonné l’amour de ma vie parce que je ne voulais pas partir loin de lui. Jamais il ne l’apprendra parce que je ne veux pas lui faire de peine. Les années sont passés aussi rapidement que possible, j’ai survécu puis j’ai vécue, doucement, surement, mon frère faisait toujours parti de ma vie et continuer à me surveiller. Son comportement avec les hommes avaient changé et il commençait à faire des recherches sur leur vie, leur passé, leur casier judiciaire. Une véritable enquête à chaque nouveau petit ami. C’est bien à cause de ça que j’ai trente ans et que je suis toujours célibataire. Il veut m’éviter de souffrir sauf que là il m’étouffe, il m’étouffe beaucoup trop, je ne suis plus une gosse j’ai trente ans, je suis une femme. Je sais me défendre. « Comment ça tu veux que l’on arrête ? On est sorti que deux soirs ensemble je ne comprends pas là ? » L’homme devant moi était mon rencard de ce soir et je pensais passer une bonne soirée, une troisième soirée tranquille, on s’entendait bien, c’était un gentil professeur de musique dans une école. « Je… en fait je… y… y a un type… » Je me suis mise à gronder quand il m’a dit ça et il m’a juste embrassé sur la joue avant de fuir comme un lâche. Prenant mon téléphone je fais le numéro de mon frère et dès qu’il a décroché j’ai dit. « Casper Isaac Faust je vais te tuer ! » Et c’est ça depuis presque trente ans maintenant. Je l'aime mais je lui éclaterais bien la tête de temps en temps. Ah l'amour fraternel c'est difficile...