casper isaac, faust

“It's partly true, too, but it isn't all true. People always think something's all true. ”

NOM & PRENOM(S) : Casper Isaac Faust. Oui, je sais, c'est bizarre comme nom. Faust c'est allemand. Casper c'est une preuve de la folie de ma mère. Isaac c'était le nom de mon arrière-grand-père ! SURNOM(S) : Cas, Caspi, Caspichou. Note : N'utiliser sous aucun prétexte. ÂGE : 33 ans déjà ! DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le 17 novembre dans la ville de Toronto. ORIGINE : Je suis canadien. ÉTUDES OU PROFESSION : Criminologue. Comment on ne dirait pas ? Je suis le meilleur. SITUATION : Célibataire. GROUPE : The Ides Of March AVATAR : Le divinement sexy Misha Collins.

Ҩ Mon portrait chinois

❖ un animal : Un lion, peut-être. C'est un grand paresseux, les lionnes font tout à sa place, mais personne n'ose l'énerver. ❖ un oiseau : C'est de la triche. Et si mon animal avait été un oiseau, hein ? Je dirai un faucon, parce qu'il voit tout arriver de très, très loin. ❖ un monstre : Le hockey. Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle, c'est une monstruosité. ❖ une saison : L'hiver. Il est beaucoup plus simple de se réchauffer que de se refroidir. ❖ une fleur : Un lys ? C'est une fleur extrêmement belle, mais c'est aussi une des rares qui puent. Sans blague. ❖ un fruit : Le citron. Il faut bien le connaître pour savoir l'apprécier à sa juste valeur... Comment mon ego ? ❖ un plat : Question difficile. Le chocolat, c'est un plat ? ❖ un parfum de glace : Chocolat, bien sûr. Un classique est un classique, on ne change pas une formule gagnante. ❖ une couleur : Le vert. Rien à ajouter. ❖ une chanson : Stairway to heaven de Led Zeppelin. Un classique est un classique... Dois-je terminer cette phrase ? ❖ un livre : The Catcher In The Rye de Sallinger. Oui, je suis un grand sentimental, au fond. ❖ un film : Je n'ai pas vu beaucoup de films et, franchement, je n'en connais aucun qui me représente. ❖ un endroit : Le lac. Je vous l'ai dit, je suis un grand sentimental. ❖ une ville : Québec, au Canada.

❖ une planète : La Terre, quelle autre ? Ce n'est pas comme si on pouvait se poser sur une autre. ❖ un sentiment : La satisfaction, l'accomplissement. Ce moment de bonheur pur où l'on comprend que l'on a réussi. ❖ un défaut : La gourmandise, bien que selon moi il ne s'agisse absolument pas d'un défaut. ❖ une qualité : La patience. Je n'en ai pas, mais j'aime qu'elle soit présente chez les autres. ❖ un art : La musique, sans hésitation. Que serait-on sans elle ? ❖ une langue : L'Anglais. C'est une langue directe et franche. ❖ une fête : Je n'aime pas les fêtes. Sauf peut-être le Poisson d'Avril, pour des raisons évidentes. ❖ un objet : Un téléphone intelligent. Franchement, je n'arrive pas à comprendre comment l'humanité pouvait fonctionner avant que ce gadget merveilleux soit inventé. Sans le mien, je suis comme nu ! ❖ un élément : Le feu. Toujours agréable à regarder. Et puis j'aime aussi l'eau. ❖ un péché capital : L'orgueil. Les gens qui n'en ont pas échouent immanquablement. Le fait que ce soit considéré comme un péché prouve la stupidité de l'Église. ❖ un jeu : Les « meurtre et mystère » sont ma spécialité. ❖ un chiffre : Je ne saurais lequel choisir. ❖ une expression : « Plutôt mourir » ❖ un verbe : Réussir. Vous allez me dire que je me répète, mais je suis comme ça.

Ҩ mon caractère, mes tocs, mes manies ...

❖ 001. perspicace. ❖ 002. amusant. ❖ 003. charismatique.
❖ 004. impatient. ❖ 005. capricieux. ❖ 006. globalement insupportable.

❖ LIKE A VOODO O HONEY : Cas est un fanatique de sucreries en tous genres. Il garde toujours un paquet de bonbons à portée de main. ✖ On lui a souvent fait remarquer qu'il a une voix particulièrement grave. Celle-ci lui vaut pas mal de succès auprès de ces demoiselles et de quelques hommes. ✖ Il est homosexuel. Peu de gens sont au courant, non pas parce qu'il le cache mais parce qu'il a eu très peu de relations, sérieuses ou pas. ✖ Malgré son orientation sexuelle, il adore draguer les femmes. Ça entretient son image de macho insupportable. ✖ Il adore travailler pour le FBI, mais fait toujours comme s'il avait quelque chose de mieux à faire. Il aime se faire supplier, qu'ils dépendent de lui. ✖ À l'école, il a toujours été un cancre. Les cours ne l'intéressaient pas. Il a été repéré par le gouvernement après avoir résolu une affaire de lui-même, dans son minuscule appartement de l'époque. Il avait téléphoné au FBI qui, après vérification, avait réalisé qu'il avait raison sur toute la ligne. ✖ Il ferait n'importe quoi pour sa soeur. Il surveille d'ailleurs de près les fréquentations de celle-ci, ce qui ne manque pas de l'exaspérer. ✖ Il a retrouvé son père, il y a cinq ans de cela, mais n'a pas osé lui parler. Sa soeur n'en sait rien et elle serait probablement très en colère si elle l'apprenait. ✖ Son « partenaire » l'exaspère, mais Cas a parfaitement conscience que c'est parce qu'il l'aime bien. En attendant, il lui rend quand même la vie impossible. ✖ Il ne prend jamais de douches. Toujours des bains, surtout le matin, et c'est souvent la cause de ses retards. ✖ Il n'a jamais laissé une affaire non-résolue, et celle sur laquelle il travaille actuellement le rend fou : c'est la première fois qu'il passe autant de temps sur la même enquête.

PSEUDO : Violet. PRÉNOM : Alexe. ÂGE : 18 ans. PAYS : J'habite au Québec. Et on a de la neige ! PRÉSENCE : 7j/7. Juré. OÙ AS TU TROUVÉ LE FORUM : Via Bazzart. TON AVIS DESSUS : J'ai trouvé le ton du design (les couleurs) un peu froid. Mais c'est le côté épuré du forum qui m'a attirée. Puis le contexte a achevé de me séduire. CODE RÈGLEMENT : then i'm grew up. ---> Ce serait pas « Then I'm grown up ? Mais j'hallucine peut-être. TON MOT DE LA FIN : Merci d'exister. J'avais hâte à ce forum depuis des semaines, même si j'ignorais son existence.

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“ all morons hate it when you call them a moron. ”

tout le monde à une histoire à raconter

Le Ghost est l’un des meilleurs éléments du FBI. Aussi connu sous le nom de Casper Isaac Faust, les agents se sont mis à l’appeler ainsi à cause de son prénom et de son omniprésence partout dans le service. Faust n’est pas haut placé. Il n’a jamais fait d’études supérieures. Pire encore, il n’est pas américain, il est canadien. Il n’a même pas le titre d’agent. Officiellement, on dit qu’il est un collaborateur ou un conseiller. Il ne peut pas porter une arme. Pourquoi, alors, peut-il se mêler aux enquêtes ? Pourquoi ses caprices ne sont-ils jamais ignorés ? Parce qu’il est le meilleur.

Casper est un génie. C’est un enfoiré, certes, mais néanmoins le meilleur détective de son époque. Il est entré au FBI à 21 ans, après avoir résolu de lui-même, et seulement grâce à quelques informations glanées dans les journaux, l’affaire la plus importante de l’époque : le Butcher de Harlem. Il possède une compréhension des tueurs en série et des criminels en général qui échappe aux meilleurs agents du service. On dit qu’il est probablement lui-même fou. Lorsque ses informations sur l’affaire se sont avérées correctes, on l’a enfermé sans attendre. On l’a cru complice et trop téméraire. Finalement, aucune preuve n’a pu être retenue contre lui et c’est le chef du département de New York lui-même qui, après l’avoir interrogé, lui a ouvert les portes du service.

Il a grandi au Canada, voyageant entre Toronto et Montréal, selon les envies de sa mère. Il a un souvenir très flou de son père, qui les a quittés, lui, sa mère et sa sœur, alors que Cas n’avait pas cinq ans. Sa sœur est tout pour lui. Il a fait des tas de petits boulots, adolescents, pour économiser afin de lui payer ses coûteuses études en musique. Il est ravi qu’elle réussisse. Aujourd’hui, leur mère est décédée et il surprotège sa petite sœur, passant au peigne fin chacun de ses prétendants. Il l’appelle trois fois par semaine, toujours à la même heure et elle sait très bien que, si elle ne répond pas, il lâchera tous les chiens du FBI à sa recherche. Ça l’agace beaucoup, d’ailleurs. Heureusement que Casper est obsédé par son travail, qui est de trouver les tueurs fous, parce qu’elle lui aurait arraché la tête depuis longtemps.

…

« Je veux pouvoir enquêter sur le terrain. »

Erik leva les yeux, posant son regard d’acier sur son meilleur élément. Casper Faust était la cause d’innombrables problèmes. Les agents se plaignaient à son sujet, personne n’avait, jusqu’ici, pu travailler avec lui plus de trois semaines. Il faisait sans cesse des caprices et, malgré lui, Erik les satisfaisait. Le FBI ne pouvait tout simplement pas se permettre de perdre le Ghost. Cette fois cependant, la demande était irraisonnable, et Casper en avait parfaitement conscience. Il ne put réprimer un air ahuri lorsque son supérieur ouvrit la bouche.

« Très bien. Je vous assignerai un partenaire, Faust, un agent. S’il vous accompagne en tout temps, vous pourrez aller où ça vous chante. »

…

« Vous devez signer ces papiers, monsieur Faust. »

« Appelez-moi Casper. »

Il offrit à la jeune femme son plus beau sourire, s’amusant de la rougeur qui apparut immédiatement sur ses joues. Il avait obtenu une permission spéciale. En signant ses papiers, il acceptait les risques que ces nouveaux droits entraîneraient. Il acceptait de ne pas poursuivre le gouvernement s’il était blessé. Évidemment, le FBI paierait pour toutes ses blessures. Comme s’il n’avait pas déjà suffisamment d’argent. Casper n’y croyait pas encore. Dès le lendemain, il pourrait faire à peu près ce qu’il voulait. On lui collerait un agent aux basques, mais l’homme n’était pas franchement inquiet par rapport à cela. Il arrivait toujours à amadouer les agents. Toujours.

…

« Je ne veux plus de lui, Erik ! Il va me rendre complètement fou. N’importe qui sauf lui. »

Son patron, son ami, était amusé. Il affichait un sourire satisfait et Casper avait franchement envie de le lui arracher. Ça ne devait pas se passer comme ça. Il devait tomber sur un agent sérieux, facile à déstabiliser ou à semer. Il devait pouvoir se débarrasser de son fardeau. Plutôt que ça, il était aux prises avec ce… Matt Warwick. Déjà, il avait un nom complètement ridicule et ordinaire. Et puis il était… amusé, par Casper. Il se foutait constamment de sa gueule. C’est Cas qui se foutait de la gueule des autres, lui qui se pointait au travail en jeans et en t-shirt plutôt qu’en uniforme, lui qui charmait les jeunes secrétaires, lui qui avait la réputation d’être totalement insupportable. Et pourtant, voilà qu’il se retrouvait jumelé à son alter ego.