Née à New York et y vivant depuis toute jeune, Jolene a grandit au sein d'une famille plus ou moins riche dans un quartier un peu plus pauvre de la grande ville. Son frère, Lexus, et elle ont souffert de l'absence de ses parents. Toutefois, ils n'ont jamais manqués de rien. La jeune femme apprend à se débrouiller seule très tôt. Elle tombe dans l'art du dessin et commence à créer des morceaux de vêtements dès ses douze ans. Elle a été dans des collèges privés, héritage de ses parents, et vers l'âge de 26 ans, elle fonde Jole's, boutique vendant ses propres créations.

Elle est du genre stricte, autoritaire, acharnée, sèche et froide, mais au fond, ce n'est que la couverture de la femme d'affaire New Yorkaise. Elle se révèle être quelqu'un de compréhensive et d'aimante. Elle est célibataire et souffre en quelque sorte de cette solitude. Personne n'est capable de répondre aux critères très important qu'elle recherche. Elle cherche un peu trop loin, on doit l'avouer. Mis à part ses défauts et ses caprices, Jolene est quelqu'un de très bien et ayant de très bonnes valeurs dans la vie.

Jolene recherche à peu près tout : ami/es, ennemi/es, coup d'un soir, ambigüité, liens tordus, liens torrides et complexes. Elle ne se limite pas qu'à un type de personne et son cercle social est très étendu, même si elle fait souvent l'hypocrite face à eux.

Bonjour !
Voici la petite partie où la membre finit par dire ce qu'elle veut et ne veut pas. Eh bien, je veux de tout et je ne veux de rien. (Quoi ?) Donc... Proposez-moi vos idées de façon claire et complète et ensemble on bâtira un lien du tonnerre ! Je tiens à dire que je suis très peu présente en semaine, alors soyez indulgent envers mon temps de réponse. De plus, je ne prendrai que deux RPs à la fois, étant donné les obligations scolaires. Sur ce, je vous aime !

Je ne la connais que depuis environ deux ou trois ans, mais c'est clair et net que jamais je ne la laisserais ressortir de ma vie. C'est comme la sœur que je n'ai jamais eu, l'amie fidèle qui n'a jamais su rester à mes côtés et la confidente qui n'a jamais été présente pour m'écouter. J'aurais tout donné pour pouvoir la rencontrer plus tôt et ça me fend le cœur de me rendre compte qu'elle a toujours vécut à New York, mais que nous ne nous sommes jamais croisées avant. La première fois que je l'ai vue, elle était venue fouiner dans la boutique. Elle ne cherchait rien de bien précis puisqu'elle refusait poliment l'aide des vendeuses. Je me souviens être allée vers elle, lui souriant, et lui demandant si elle avait besoin d'aide. Son regard avait croisé le mien et c'est à ce moment bien précis que j'ai su que toutes les deux nous pourrions avoir tant de chose à se dire et à s'apprendre l'une envers l'autre. Au fil de nos rencontres, je finis par délaisser l'image que je projetais. Je finis par complètement m'ouvrir à elle et la laisser voir la véritable moi. Cela prit un certain temps avant qu'elle fasse la même chose, mais ce temps fut si précieux pour nous que je ne la blâmerai jamais d'avoir semblé méfiante à première vue.

Je n'étais pas bisexuelle et encore moins lesbienne. Je n'avais rien contre la communauté LGBT et je les respectaient d'avoir autant de courage pour passer à travers ces situations, mais en présence de Carmina... Oh mon dieu... Je lui tiens tête, c'est évident. Je ne veux pas tomber dans ce genre de jeu, dans ce genre de rencontre qui pourrait être critique autant pour elle que pour moi. Sauf que... Quand elle me parle, quand elle se tient près de moi, quand ses yeux croisent les miennes, quand son souffle se mêle au mien... C'est comme si une vague de chaleur inexplicable m’envahissait... Entre elle et moi, les choses ont toujours été ce qu'elles sont : nous travaillons ensemble, nous nous voyons régulièrement et nous passons quelques fois bien du temps hors du bureau ensemble. On est amie, malgré nos très forts caractères et on s'entraide quand on ressent le besoin d'être soutenue. Ce n'est pas l'amitié que j'entretiens avec Evidence, mais pour rien au monde je voudrais perdre ce que j'ai avec Carmina. Sauf qu'il y a ça... Ça, ce quelque chose d'inexplicable qui me fait quasiment fondre en sa présence. Je ne sais pas comment ça a commencé, je ne sais pas pourquoi ça a commencé et je ne sais pas comment ça va se terminer... Tout ce que je sais, c'est que je dois résister...

Ma boutique fait beaucoup d'heureuses, c'est certain. Bon nombre de mes clientes reviennent régulièrement pour savoir si de nouvelles choses apparaîtraient sur les rayons. Je ne peux pas les blâmer : mes créations ont du styles ! Hannah, Hannah, Hannah... Je pense que depuis l'ouverture, c'est une des premières qui est entrée dans le magasin pour jeter un œil sur mes fringues. Le jour où elle m'a rencontrée pour la première fois, lors d'un cocktail où j'assistais... Oh mon Dieu, je ne vous dis même pas ! Une vraie groupie ! Elle me posait des questions à tour de bras et j'essayais de répondre, mais je perdais facilement patience. Quelques fois, il m'arrive de lui montrer des croquis pour lui faire plaisir. Elle me dit ce qu'elle en pense et habituellement, c'est toujours très positif...

Je me souviens de la première fois où tu es entrée dans ma boutique. Derrière le comptoir, je t'avais tout de suite repérée. Tu semblais préoccupée, nerveuse et très, très en retard. Je me suis donc permise de venir te demander si tu cherchais quelque chose de particulier et là, comme si j'étais descendue du ciel que pour toi, tu m'as regardée et tu m'as dit que ce serait la chose la plus sublime que je pourrais faire pour toi. Ensemble, nous avons trouvez le modèle parfait pour ta soirée et je t'ai même fait les ajustements de dernière minute à un prix plus que raisonnable. Maintenant, à toutes les fois où tu sais que tu dois te vêtir d'une façon convenable –bien que ce soit toujours le cas–, tu te tournes toujours vers ma boutique et vers moi. Quel plaisir !

J'avais été au musée, une après-midi où je n'avais absolument rien à faire. Bien que je sois résidente de New York depuis ma plus tendre enfance, je n'avais jamais vraiment été une coureuse de musée. Sauf que là, j'avais envie d'y aller pour me changer les idées... Pendant que je regardais un portrait, l'air un peu bouleversé, une femme rousse vint à ma rencontre et elle me demanda si j'avais besoin d'aide pour la visite. J'acceptai son offre volontiers et ainsi, nous avons passé toute l'après-midi ensemble. Nous avons parlé de diverses choses et je me suis sentie en confiance et très bien. Quelques jours plus tard, je lui proposa de venir prendre un café chez moi. Elle accepta. C'est alors que son changement de comportement se produisit. Elle était gentille et agréable et au moment où mon ordinateur se mit à fait le cliquetis d'une conversation instantanée, elle se mit à changer sans que je comprennes pourquoi... Étrange.

Même si je ne respecte pas toujours ses choix, même si je le trouve parfois trop immature pour son âge et même quelques fois il m'arrive de faire comme si j'étais enfant unique, Lexus sera et restera toujours le seul homme de ma vie. Sans lui, je ne serais rien. Il a toujours été là pour moi, il a toujours été prêt à m'aider et à m'écouter... Puis, je dois l'admettre, nous nous sommes toujours bien marrés les deux ensembles, surtout quand on se mettait à foutre la pagaille dans la cuisine... Sans lui, ma vie serait terne et sans vie, parce que je dois bien admettre que le fait de recevoir ses appels à trois heures du matin met un peu de piquant dans ma vie fade.

Sullivan est le pauvre type à qui je m'en prenais toujours durant les classes d'algèbre et d'anglais. Il ne me faisait rien, mais il avait une tronche à faire rire de lui, alors c'était bien facile de s'en marrer. Mes copines et moi on y prenait goût... Puis on s'est perdu de vu à l'entrée à la fac. Dieu seul sait où il en est... Oh, et ça me fait penser... Tout récemment, je me suis inscrite sur un site de rencontre. Bon, je n'ai pas une tendance folle à croire à ces trucs débiles qui te font payer soixante dollars pour mettre à jour ton profil, mais je me suis dit que je pouvais bien tenter le coup. Le mec avec qui je parles s'appelle Sullivan donc... Bon, ça m'a fait penser à ça.

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