Ferrari Jolene Brooklyn-Atwoodth

“Quand la vie te donne tout pour réussir,
alors n'échoue pas.”

NOM & PRENOM(S) : Ferrari Jolene Brooklyn-Atwoodth, c'est noté ? SURNOM(S) : Jo ou Lene, mais très rarement Fer'. ÂGE : 28 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Je suis née au coeur de New York, un certain 30 septembre. ORIGINE : Américaine avec une petite partie de sang anglais en moi. ÉTUDES OU PROFESSION : Designer de mode pour une très grande compagnie de NYC. SITUATION : Célibataire. Aucun homme n'a encore été capable de répondre à mes exigences. GROUPE : THE IDES OF MARCH. AVATAR : La magnifique, la sublime, la très belle et la très respectable Dianna Agron.

Ҩ Mon portrait chinois

❖ un animal : Un chien. ❖ un oiseau : Une merle. ❖ un monstre : Monster Inc. ❖ une saison : L'automne. ❖ une fleur : Une rose. ❖ un fruit : Une nectarine. ❖ un plat : Une salade grecque. ❖ un parfum de glace : Chocolat. ❖ une couleur : Beige. ❖ une chanson : Jolene, bien sûr. ❖ un livre : Et si c'était vrai. ❖ un film : The Notebook. ❖ un endroit : Mon studio. ❖ une ville : Paris.

❖ une planète : Mars. ❖ un sentiment : Le bien-être. ❖ un défaut : La jalousie. ❖ une qualité : La générosité. ❖ un art : La couture. ❖ une langue : Le français. ❖ une fête : Noël. ❖ un objet : Un appareil photo. ❖ un élément : L'eau. ❖ un péché capital : L'envie. ❖ un jeu : Tétris. ❖ un chiffre : L'infini. ❖ une expression : « OMG ! ». ❖ un verbe : Réussir.

Ҩ mon caractère, mes tocs, mes manies ...

❖ 001. généreuse. ❖ 002. déterminée. ❖ 003. organisée.
❖ 004. sèche. ❖ 005. sévère. ❖ 006. colérique.

❖ LIKE A VOODO O HONEY : ☆ Bien que j'adore les chiens, je n'en ai jamais possédé un. Je ne suis pas assez présente et assez patiente pour m'en occuper. ☆ Je suis inscrite sur un site de rencontre depuis environ six mois, mais rien de bon : que des vieux pervers avide de sexe. ☆ J'aime lire pendant que prends un bon bain chaud. C'est cliché, mais j'assume. ☆ Il m'arrive de me parler toute seule, surtout quand ça ne va pas bien au bureau. ☆ Je n'ai pas de grands amis. Rare sont ceux qui sont capable de rester très longtemps près de moi. ☆ Je n'aime pas particulièrement les gens qui se croient tout permis parce qu'ils sont riches. Ça en devient déprimant. ☆ Je consulte une psychologue et un thérapeute depuis mes vingt ans. La cause : mes petits problèmes personnels, voyons. ☆ Je suis boulimique. Pas diagnostiquée, mais ça ressemble étrangement. Quand je suis dans une période de stress, rare ne sont pas les jours où je peux engloutir deux ou trois barre de chocolat, des sacs de croustilles et des petits gâteaux. Horrible, je vous jure. ☆ J'aimerais ouvrir une succursale pour mes créations à Paris. Je songe fortement à prendre des cours de français poussé pour être capable d'aller moi-même là-bas et parler aux grands de là-bas. ☆ Ma mère me voyait docteur. Mon père me voyait avocate. Mon frère me voyait plombière et moi je me vois comme une femme d'affaire surdouée dans la création de vêtements. C'est pas beau la vie ?

PSEUDO : Charney. PRÉNOM : Rose. ÂGE : Théoriquement vingt, mais j'aime bien écrire que j'ai vingt et un... PAYS : Canada, Québec, Moooontréal ! PRÉSENCE : Réduite en semaine, mais très présente en weekend. Tout dépendra aussi de l'importance de mon personnage... OÙ AS TU TROUVÉ LE FORUM : Sur PRD, voyons ! TON AVIS DESSUS : Magnifique. Bien construit, convivial et agréable... Ça donnait vraiment envie de venir. CODE RÈGLEMENT : then i'm grew up. TON MOT DE LA FIN : QUE LE RP COMMENCE !

CODE RÉSERVATION AVATAR ❖ à remplir si vous voulez que l'on vous réserve votre avatar :

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[code][color=chocolate]❖[/color] <span class="réservée">DIANNA AGRON</span> - [size=10]f. jolene b.-atwoodth[/size][/code]

“ La vraie beauté
C'est d'être bien dans sa peau ”

tout le monde à une histoire à raconter

Je pris une grande inspiration, rentrant le peu de ventre que j’avais. Je replaçai mon tailleur pour qu’il soit parfaitement aligné avec le pli de mon pantalon noir. Tout marchait parfaitement bien ensemble. On peut dire que j’ai du goût pour la mode, sinon je ne ferais pas le métier que je fais, c’est évident. Je pris l’appareil photo qui était posé sur la petite table basse, retenant ma respiration. Je mis le petit gadget en marche et braqua l’objectif sur moi. Faisant un sourire un peu forcé, je déclenchai l’appareil et une première photo fut prise. Je n’ai pas l’habitude de prendre ce genre de photo de moi, mais comme je tiens à avoir un très bon profil sur ce site de rencontre, je dois mettre toutes les chances de mon côté. J’en repris une autre, puis une autre et je finis par éteindre l’appareil. Relâchant mon ventre et me dégourdissant un peu les bras, je m’installai à mon bureau de travail, ramenant mon MacBook un peu plus près de moi. Je branchai la carte mémoire dans l’ordinateur et attendit que les photos se chargent. En les regardant, je n’en trouvai pas une à mon goût. J’étais très difficile envers moi et ce n’était pas quelque chose de nouveau. J’avais toujours voulu être la petite fille parfaite qui n’a jamais rien de défait sur elle. Quand on est au primaire et que les autres camarades de classe nous regardent comme si on sortait d’un film des vieilles années tellement en veut projeter l’image de la jeune fille parfaite dès l’âge de dix ans, je peux vous garantir que les gens ont tendance à faire attention à vous. Je n’ai donc jamais passé inaperçue. Jamais je n’ai connu les moments où on se fait intimider et où on se fait regarder de haut. Au contraire, j’étais peut-être celle qui regarde un peu trop de haut et qui adore un peu trop quand les choses sont faites à sa manière... Mais que voulez-vous, dès mon plus jeune âge je savais que j’allais appartenir à la plus grande classe sociale que New York pouvait porter. Reportant toute mon attention à ces clichés de moi, je finis par en choisir une qui me semblait assez représentative. Sourire plus ou moins forcé, mais assez agréable à regarder pour qu’on puisse comprendre ma beauté naturelle. J’ouvris mon navigateur web et me connecta à ce fameux site. « Jolene Atwoodth. » J’avais considérablement réduit tous mes prénoms et tous mes noms. C’est un peu difficile quand on me demande de me présenter et que je dois passer par le Ferrari jusqu’au Brooklyn-Atwoodth. Ce n’est pas de ma faute si mes parents ont toujours eu ce genre de... d’emprise sur moi. En me donnant leurs deux noms de famille, ils voulaient être sûrs et certains que je sois reconnaissable de tous. Brooklyn me vient de ma mère. Ma mère n’est pas avocate, ni médecin. Elle fait de l’animation à la télé. Rien de bien particulier, mais elle rêve secrètement d’être aperçu par un grand producteur de New York. Je ne veux pas la décevoir, mais à soixante ans passés, ça me surprendrait que ça décolle. Vous aurez donc compris que le Atwoodth revient à mon père. Père qui fut absent durant toute mon enfance. Je ne lui en veux pas. Je sais que c’est dur d’éduquer une petite fille, de voir un petit garçon grandir et de s’occuper d’une femme... Surtout quand on a une maîtresse qui habite dans le Connecticut... Mon père n’est pas non plus avocat ou encore directeur d’une grande entreprise. Il est seulement pigiste dans une petite compagnie. Cela dit, ils ont toujours souhaité que je m’élève plus haut qu’eux, d’où le fait que j’ai eu droit aux études dans des collèges privés et à tout ce qui va avec. Je n’ai jamais rien manqué et je leur en suis très reconnaissante. Grâce à eux, j’ai pu avoir accès à la faculté la plus réputée de New York pour devenir une très grande designer de NY et créer mes propres lignes de vêtements... Que rêver de plus ? Un mec... Oui. Je suis seule, vous l’aurez compris. Sinon je ne serais pas en train de mettre à jour mon profil sur ce site de rencontre. Je mis la photo à jour et je me déconnectai ensuite. Le vrai boulot m’attendait. Je pris mon portable, le rangea dans mon sac. Je me levai, repoussant la chaise bien comme il faut sous le bureau et prit mon porte-folio et mes clefs que je rangeai aussi dans mon sac. Je sortis de ce grand appartement, bien trop grand pour moi et alla au bureau.

...

Déverrouillant la porte de mon appartement, je posai mon sac par terre, me jetant sur mon ordinateur. Qui sait, peut-être que dans la journée j’aurais eu des messages sur ce site ? Je me reconnectai donc et cliqua directement sur ma boîte à message. Trois nouveaux messages m’y attendaient. Je lus le premier et fut désagréablement surprise : un vieux pervers de soixante ans. Ark. J’effaçai le message. Le deuxième message était de la publicité pour du viagra. Non, merci. Je supprimai ce message. Le troisième attira mon attention. Le pseudo me faisait un peu marrer, mais au final ce n’était pas ça le plus important. Son message était simple et très convenable. « Bonsoir, vous voudriez bien m’accorder un peu de temps ? ». Je ne pus m’empêcher de sourire. Soudain, un bip attira mon attention. Au bas de la page, une conversation instantanée venait de s’ouvrir. C’était lui.
✖ Bonsoir.
✖ Bonsoir.
✖ Comment allez-vous, chère créatrice ?
✖ Je vais bien, merci... Et vous ?
✖ Très bien... Alors, pouvez-vous me parler de vous ?
Cette question me fit me sentir toute drôle. Allais-je vraiment prendre la peine de raconter ma vie à un inconnu ? Sûrement... Je pris donc une grande inspiration, n’ayant rien de mieux à faire et commença à rédiger un pavé.
✖ Je m’appelle Jolene, j’ai 28 ans et je suis designer dans ma propre boutique de fringue. Je vis seule depuis très, très, très longtemps. Je suis née à New York et j’y vis depuis mon existence. J’ai beaucoup d’ambition. Un peu trop, peut-être. Les gens me disent souvent que je suis difficile à suivre et dure à comprendre. Je n’ai pas d’animaux domestiques parce que je n’ai pas de temps ni d’amour à leur consacrer. Je suis parfois sèche, quelques fois dure et il m’arrive de péter un câble pour rien lorsque la pression est un peu trop élevée. Cela dit, je sais être quelqu’un d’aimant et d’appréciable... Les médias disent de moi que je suis insensible, un bourreau au travail et que je ne mériterais même pas ma place au sein de cette entreprise que j’ai moi-même créer, mais bon. Ça ne m’attaque pas... On dit aussi que je suis superficielle et imbue de moi-même. Peut-être. Oui. J’accorde une très grande importance à moi et à mon image, mais je pense que quelque part c’est quelque chose de nécessaire... Donc, voilà...
Je pris une grande inspiration avant d’appuyer sur « enter ». Voilà, en gros, comment je suis...