randall gabriel thomson

“a man needs something he can hold onto; a nine pound hammer or a woman like you ”

NOM & PRENOM(S) : Randall Gabriel Thomson SURNOM(S) : gaby; gabe ÂGE : vingt-huit ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : un vingt-trois décembre, à Denver ORIGINE : américaines ÉTUDES OU PROFESSION : membre du NYPD SITUATION : célibataire GROUPE : THE IDES OF MARCH AVATAR : ian somerhoter

Ҩ Mon portrait chinois

❖ un animal : le lynx ❖ un oiseau : le faucon ❖ un monstre : frankeinstein ❖ une saison : l'automne ❖ une fleur : le lys ❖ un fruit : la pêche ❖ un plat : une pizza ❖ un parfum de glace : menthe ❖ une couleur : rouge ❖ une chanson : Jolene; Ray LaMontagne ❖ un livre : The Sun also Rises ❖ un film : Citizen Kane ❖ un endroit : ailleurs ❖ une ville : Rome

❖ une planète : Venus ❖ un sentiment : la passion ❖ un défaut : le sarcasme ❖ une qualité : le sens de l'humour ❖ un art : la musique ❖ une langue : le français ❖ une fête : noël ❖ un objet : un oreiller ❖ un élément : l'eau ❖ un péché capital : la luxure ❖ un jeu : la vie ❖ un chiffre : deux ❖ une expression : va te faire voir ❖ un verbe : être

Ҩ mon caractère, mes tocs, mes manies ...

❖ 001. observateur ❖ 002. calme ❖ 003. sincère
❖ 004. méfiant ❖ 005. sarcastique ❖ 006. téméraire

❖ LIKE A VOODO O HONEY :

▬ dix-sept ans, c'est l'âge auquel il a commencé à fumer. Deux ans, c'est le temps qu'il lui a fallu pour arrêter. aujourd'hui encore, il prend une pause clope juste histoire de ne pas casser l'habitude et de ressentir le manque.
▬ deux, c'est le nombre d'enfants et de chiens qu'il avait prévu d'avoir aux alentours de ses trente ans lorsqu'il était avec sa copine la plus remarquable - ils en avaient parlé, un soir, dans ces confidences à la con sur l'oreiller, les yeux rêveurs d'un avenir qui ne sera jamais aussi idyllique qu'on l'imaginait.
▬ dix, treize et seize, ce sont les âges des enfants que sa mère élève dans l’Idaho. Les enfants de son nouveau mari, enfants parfaits, pas les siens. Deux, c'est le nombre de fois que Gabriel et sa sœur les ont vu. C'est aussi le nombre de retrouvailles avec leur génitrice depuis cinq ans.
▬ quatre, c'est le nombre de jours qu'il a tenu avec une teinture blonde platine à l'époque du lycée. On lui avait pourtant affirmé que c'était super tendance, le look surfeur californien... ouais, peut-être sur la côte ouest. Pas ici.
▬ une, c'est le nombre de balle qu'il lui a fallu pour détruire sa vie. Pourtant, il n'a ni appuyé sur la détente, ni même été touché.
▬ six, c'est le nombre de fractures qu'il s'est fait depuis le début de sa vie. Poignet, cheville... les petites cicatrices marquent encore son corps de ses opérations. Un beau bordel, là-dedans.
▬ dix ans, c'est le temps qu'il se donne avant de devenir capitaine. Et non, il ne lui faudra pas plus de temps, il en est sûr. Il lui faut juste un cas, un bon cas - qui montre souvent son nez sous dix ans - et à lui la promotion. A partir de là, il considèrera avoir réussi sa vie.
▬ dix-sept, le nombre de skateboard qu'il a tué avant que son père ne décide de lui faire prendre des cours de karaté. Au moins là, il pourrait canaliser son énergie sans pour autant le ruiner ! Il ne se doutait pas à cette époque là qu'il allait sauver la vie de son fils.
▬ quarante-trois fois, il a regardé quarante-trois fois la vidéo du double rainbow sur Youtube pour être sûr que ce n'était pas une connerie. Certes, c'est totalement idiot, mais le mec à l'air sincère. Il est même plutôt fan de la chanson parodique avec Bob l'éponge...
▬ huit, c'est le nombre de seconde qu'il lui faut pour savoir si oui, vous êtes honnête, et surtout s'il vous apprécie. Et bien souvent, les choses qui émanent de ces quatre secondes se vérifient par la suite.

PSEUDO : golden. PRÉNOM : lucie ÂGE : dix-neuf ans PAYS : France PRÉSENCE : quotidienne OÙ AS TU TROUVÉ LE FORUM : via bazzart TON AVIS DESSUS : magnfique, très bien constuit CODE RÈGLEMENT : then i'm grew up TON MOT DE LA FIN : ici

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[color=chocolate]❖[/color] <span class="réservée">IAN SOMERHALDER</span> - [size=10]r. gabriel thomson/size]

“ Why does it rain, rain, rain down on utopia ? Why does it have to kill the idea of who we are ? ”

tout le monde à une histoire à raconter

FAMILY ϟ I DIDN'T KNEW WHAT THAT MEANS UNTIL I LOOSE YOU

J’avais quatre ans quand on a déménagé pour New York. Et quand elle est née. C’est mon premier souvenir significatif, le reste ne vaut pas grand chose si vous voulez mon avis. Mon père aimait une femme qui n’aimait qu’elle, il lui avait fait des enfants dans l’espoir qu’elle reste, manque de bol, nous ne devions pas être assez bien. Toujours est-il que. Il était pompier, elle était institutrice, les deux s’étaient rencontrés par le biais d’amis communs, et tout s’était passé très vite. La passion au départ, la nouveauté de la chose, une demande en mariage, la routine qui s’installe, moi, nouveau départ, pas assez, Coleen, parfaite petite fille, toujours pas assez. Et pourtant, nos parents ont continué cette mascarade pendant un moment avant que nous ne nous rendions compte des choses, nous aussi. Et pourtant, mon dieu ce qu’il l’aimait... et il nous aimait, aussi. Mon père a toujours été de ces hommes un peu trop parfaits : le bleu de ses yeux et sa fossette au menton faisait de lui un homme séduisant, son métier lui avait donné une carrure certaine. Il était doux mais pouvait se montrer dur, généreux mais méfiant, strict mais juste, tendre et fort, il faisait le boulot de deux parents quand ma mère ne voulait être que la bonne copine. Te rends-tu compte, maman, que c’est exactement ce qui nous fait t’aimer un peu moins ? « Tu veux vnir dans ma chambre ? J’ai réussi à piquer des chips dans la cuisine... avec un film, ça pourrait être sympa. » J’ai toujours détesté qu’ils s’engueulent quand on était à la maison. Coleen se renfermait dans un mutisme que je détestais, alors qu’elle n’était sûrement la cause de leurs maux. « Dis à papa de lâcher prise, d’accord ? Faut qu’il la laisse partir. » Du haut de ses treize ans, ma petite soeur comprenait bien plus de chose que nous le pensions. Elle avait surtout compris la machine infernale dans laquelle notre famille était coincée. Ce qui ne l’empêchait pas de se blottir contre moi, lorsqu’un vase éclatait à l’étage du dessous, touchée plus qu’elle ne voulait le montrer par l’éclatement de la famille non modèle. J’étais dans ma dernière année de lycée quand enfin, ils ont décidé de mettre un terme à tout ça. Ma mère, qui n’avait jamais réussi à se faire à la vie New Yorkaise, retourna pendant un temps dans le Colorado... avant de se trouver un nouvel homme. C’est à peu près à cette même époque que mon père est tombé malade. Croyez le ou non, il venait de se débarrasser du poison qui lui bouffait la vie depuis des années, pour être finalement être rattraper par le maladie. Alors nous avons pris soin de lui. Je n’ai pas quitté la maison en entrant à l’école de police, et Coleen a également fait quelques concession... nous l’aimions, vous comprenez. Il était le seul véritable parent que nous ayons eu. Jusqu’à la fin, il y a trois ans.

LOVE ϟ I DIDN'T KNEW WHAT THAT MEANS UNTIL I MEET YOU