charlotte elisabeth parker

“Vous voyez, un homme ne vous aimera ni ne vous traitera jamais aussi bien qu’un magasin. Si un homme ne vous convient pas, vous n’avez pas une semaine pour l’échanger contre un magnifique pull en cashmere. Un magasin sent toujours bon. Un magasin peut éveiller en vous un désir pour des choses dont vous n’auriez jamais penser avoir besoin. Et quand vos doigts attrapent ces sacs flambants neufs, oh oui, oh oui !...”

NOM & PRENOM(S) : Charlie Parker SURNOM(S) : Chee ou bien Liliz. ÂGE : 24 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Manhattan, le vendredi 13 février 1987. ORIGINE : Américaine. ÉTUDES OU PROFESSION : Photographe de mode. SITUATION : Célibataire. GROUPE : « CONFESSIONS OF A SHOPAHOLIC » AVATAR : Mila Kunis ♥.

Ҩ Mon portrait chinois

❖ un animal : Un petit chaton tout mignon... ❖ un oiseau : Une colombe, symbole de la paix? ❖ un monstre : Celui qui se cache sous ton lit! ❖ une saison : L'hiver, ses arbres enneigés, ses soldes de fin d'année, le paradis, les anges de neige... ❖ une fleur : Une rose, blanche de préférence. ❖ un fruit : Une fraise peut être? ❖ un plat : De la pizza, celle avec la grosse croute et beaucoup de fromage... ❖ un parfum de glace : Vanille. Ou peut être violette. ❖ une couleur : Rose. ❖ une chanson : Highway to hell... AC/DC. ❖ un livre : La Couleur des sentiments - Kathryn Stockett. ❖ un film : Pulp Fiction. ❖ un endroit : Fifth Avenue... ❖ une ville : Manhattan.

❖ une planète : Mars. Je viens sûrement de là, je suis tellement bizarre. ❖ un sentiment : Le bonheur. ❖ un défaut : L'impulsivité. ❖ une qualité : La gentillesse. ❖ un art : La musique. ❖ une langue : L'italien! ❖ une fête : Celle où tous les invités sont heureux, où t'a pas besoin de boire pour faire la fête. Ses bonnes vieilles fêtes improvisées dans un champ ou un parking. ❖ un objet : Un téléphone portable. ❖ un élément : L'eau. ❖ un péché capital : La gourmandise. ❖ un jeu : Le stip-poker. Ou le poker. ❖ un chiffre : 13. ❖ une expression : "Va te faire f**tre". ❖ un verbe : Acheter.

Ҩ mon caractère, mes tocs, mes manies ...

❖ 001. ambitieuse. ❖ 002. à l'écoute. ❖ 003. charmante.
❖ 004. impulsive. ❖ 005. franche. ❖ 006. râleuse.

❖ LIKE A VOODO O HONEY :

UN → Je suis très franche, c'est un de mes principaux défauts. Disons que je ne suis pas du genre à mentir, je suis plus du genre à tout sortir. Si je suis pas bien, je le dis. Si je trouve des fringues moche, je le dis. Je sais que c'est pas très sympathique mais le problème c'est que je peux pas m'empêcher d'être très franche avec les gens. Donc, si un jour vous entendez dire que vos cheveux sont moche, venant de moi, c'est normal et c'est gentil... ça veut dire que je vous donne de bons conseils? Enfin voyez ça comme vous voulez.
DEUX → Je jure comme un charretier! Un voir deux gros mots par phrase. En général, mes phrases commencent par putain ou bien par merde. Ou quelque chose du style. C'est vrai que je suis féminine mais niveau langage c'est pas tout à faire ça. Vous me pardonnerez j'en suis sûre!
TROIS → Je mâchouille très souvent des chewing-gum. Je déteste ne pas avoir de chewing-gum dans la bouche. Ça peut être vu comme un acte pervers certes, mais non. N'y voyez pas de sous entendu, si c'était le cas, je vous tiendrez au courant, connaissant ma franchise.
QUATRE → Quelque chose que personne ne sait: j'ai été adoptée. Mais référez vous à mon histoire pour en savoir plus. C'est quelque chose que je ne dis pas, sauf aux personnes de confiance. J'ai peur que cela attire la pitié.
CINQ → L'amour me rend dingue. Pour être honnête, je déteste ça. Voir des amoureux se promener main dans la main, se faire des câlins... c'est très peu pour moi. Non pas parce que je suis célibataire mais parce que ça m'exaspère. J'aime bien les histoires sans prises de tête.
SIX → La photographie c'est ma vie, mon boulot. La mode également. Mais quelque chose que très peu de personnes savent c'est que ma famille avait une entreprise de pompes funèbres dans laquelle j'ai travaillé et qui me reviendra un jour. Je suis enfant unique. Donc ça me reviendra logiquement. Je dis pas non. Bosser avec des morts c'est tellement cool, ils ne parlent pas, ne vous contredisent pas. Ils ne vous écoutent pas non plus mais aux moins, avec eux, vos secrets sont bien gardés.
SEPT → Je ne suis pas fière de certaines choses que j'ai fait dans le passé, que ce soit les soirées où je picolais sans modérations, les joints que j'ai fumé pendant toute une période, une période durant laquelle je me foutais volontairement en l'air.
HUIT → Je suis assez bizarre, je dois le reconnaître. Par exemple, le soir, j'aime quand il pleut, quand il y'a de l'orage. Le bruit des gouttes qui s'abattent sur ma fenêtre arrive à me faire dormir plus vite, plus facilement.
NEUF → J'ai des manies, des tics bizarres. Je tapote souvent du pieds ou je tortille mes cheveux, sans arrêt. Je les remets toujours en place, c'est automatique. Pareil, je regarde mon téléphone toutes les 30 secondes pour voir si j'ai pas reçu de SMS. Dans le cas contraire, c'est la déprime.
DIX → Étant célibataire et pantouflarde, la soirée idéale pour moi c'est avec une bonne bouteille, un bon joint et un film. Si possible mes copines. Une bonne soirée de fille, à l'ancienne. Celle où on se bagarre avec des oreillers et où on ragote non stop.

PSEUDO : pinkvelvet. PRÉNOM : lily. ÂGE : 20 ans. PAYS : la belgique. PRÉSENCE : 7/7, en cas contraire, je préviens. OÙ AS TU TROUVÉ LE FORUM : bazzart TON AVIS DESSUS : il est génial!!! CODE RÈGLEMENT : Then I'm grew up. TON MOT DE LA FIN : ♥

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[color=chocolate]❖[/color] <span class="réservée">MILA KUNIS</span> - [size=10]charlie parker[/size]

“Ce qui compte c’est pas le nombre de coups que tu peux donner, mais c’est le nombre que tu peux encaisser et continuer à avancer.”

tout le monde à une histoire à raconter

CHAPITRE I ; avant et pendant la naissance.

Maman est tombée en cloque à 17 ans. C'était en juillet 1986. A l'époque, elle étant cheerleader. Elle sortait avec un musicien raté qui est mon père biologique. Ils étaient jeunes, inconscients et au lycée. Maman prévoyait de devenir une grande danseuse, dans le cas contraire, elle serait devenue avocate. Papa voulait être musicien. En fait, j'appelle ces gens là papa et maman mais ils ne m'ont même pas connue. Elle s'appelle Aly. Et lui, Marc. Enfin, je pense. Ils vivaient dans une petite ville d'Alabama je crois, quelque chose comme ça. Je n'y ai jamais mis les pieds. Ils étaient tour à tour amoureux, tour à tour, ils se sont détestés... Ils ont finis par se rendre compte qu'ils n'avaient rien à faire ensemble et maman, enfin, Aly, à décidé de me faire adopter. Elle à rencontré un couple parfait, ils vivaient à New York. Je suis donc née là bas. C'était un vendredi. Un vendredi 13 février. J'ai poussé mon premier cri vers 04h26. En pleine nuit, j'ai bien commencé. Je suis vraiment une emmerdeuse. Mes parents adoptif s'appellent Kara et James. Ils m'ont accueilli dans leur grande famille, dans une grande maison. Ils m'ont considérée comme leur fille, directement. Ils n'avaient pas d'enfants et ne pouvaient pas en avoir. Ma maman adoptive est avocate. Mon papa adoptif est entrepreneur de pompes funèbre. On peut donc dire que je suis née avec une petite cuillère en or dans la bouche. Je dis petite parce que cette cuillère, elle est pas vraiment à moi. Enfin indirectement, elle l'est.

CHAPITRE II ; mon enfant dans ce foyer qui n'est pas le mien.

J'ai grandit avec une nounou. Mes parents travaillaient beaucoup (quand je parle de mes parents, c'est ceux adoptifs). Ils ramenaient beaucoup d'argent à la maison. Je me souviens, quand j'ai eu deux ans, je leur ai demandés pourquoi ils n'étaient jamais avec moi et ils m'ont répondu que c'était pour le bien de la famille, que c'était pour pouvoir m'élever et avoir de l'argent pour mon avenir. Et que leur boulot était très prenant. Je n'ai pas vraiment pu broncher, j'étais tellement jeune. J'ai été élevée par Bernie. Ma nourrice. Enfin, ma baby-sitter. Soit. Lorsque j'ai eu 3 ans, mes parents m'ont placée à l'école, comme n'importe quel élève de cet âge là. J'étais assez brillante les premières années de ma vie. Lorsque j'ai eu 5 ans, mes parents se disputaient de plus en plus et je ne savait pas vraiment pourquoi. Un soir, je suis descendue alors qu'ils étaient en pleine dispute et j'ai commencé à pleurer, je leur ai demandé si ils allaient se quitter et ils m'ont répondu que non, qu'ils s'aimaient trop. Ils m'ont installés dans mon lit et ils m'ont racontés qu'ils étaient triste de ne pas pouvoir avoir d'enfant et que j'avais été adoptée. Sur le coup, j'ai été triste mais je me suis dit que j'étais tombée dans une très bonne famille, très gentille. Une famille parfaite. Lorsque j'étais triste, j'avais le bonheur de voir papa arriver à la maison avec des cadeaux. Tout plein de cadeaux. J'arrêtais aussitôt de pleurer. J'étais heureuse. Pour en revenir à mon enfance, je suis allée dans une école privée de Manhattan. Je ne m'en suis jamais plainte.

CHAPITRE III ; l’adolescence, quand tout dérape.

Je suis allée dans un collège privé. Une école privée. Avec des gosses de riche, comme moi. Mais franchement, je n'ai pas aimé ça. J'avais 14 ans. J'étais la petite gamine adoptée par des parents très riche. Comme si cela était une tare. Un poids. Et en parlant de poids, j'étais grosse. Très grosse. Je mangeais pour combler un manque, un manque d'amour. Le manque de parents. Ils n'étaient jamais là. Ils me manquaient. J'étais repoussée par les garçons, c'était horriblement triste. Un jour, sans comprendre pourquoi, j'ai arrêté de manger. J'ai changé d'école. Je me suis retrouvée dans un collège publique. C'était d'autre plus déprimant vu tout le fric de mes parents. Et quand j'ai retrouvé la ligne, au lieu de compenser par la bouffe, j'ai compensé par le shopping. J'étais vite devenue une acheteuse compulsive. Un jour, maman à découvert que c'était moi qui dépensait tout le fric pour de magnifiques sacs hors de prix, des chaussures à talons dont le prix vous ferait attraper une crise cardiaque. Alors, quand j'ai eu l'âge d'aller au lycée, maman m'a trouvé un emploi dans l'entreprise familiale de pompes funèbres. Franchement, je ne vais pas vous dire que j'ai détesté ça. Au contraire, c'était cool. Je travaillais et je gagnai de l'argent. Que je n'osai pas dépenser. Maman avait fait encore pire que de me faire travailler: elle avait confisqué tous mes sacs et toutes mes chaussures. L'horreur, vous pouvez me croire. Mais bon, j'avais trouvé quelque chose à côté: l'équipe de cheerleaders. Et oui, apparemment c'est dans les gênes (je parle de ma maman biologique). Pendant cette période, je me suis mise à sortir, j'ai délaissé le boulot et je picolais. Je fumais. Je me droguais même. J'avais presque 17 ans. J'ai fait mes premières conneries et quand mes parents ont découvert ça, ils m'ont remis dans un établissement privé. Là, j'étais surveillée. J'étais plus cheerleader, j'avais du abandonner tout ce que j'aimais. Mais soyons franc, je l'avais cherché. Peu après, pour continuer à combler ce manque d'amour, j'ai recherché mes vrais parents. Je les ai retrouvés mais ils n'ont jamais rien voulu savoir de moi. Tant pis, c'est eux qui ratent quelque chose. Pour en revenir aux études, mes notes avaient baissés. Un bon coup de pied après, cela repartait. Bonne élève de nouveau. Soignée de sa maladie. La dépendance, qu'elle soit au shopping, à l'alcool ou aux substances illicites. J'avais même trouvé un petit ami parfait. Petite mèche rebelle, beaucoup de fric, bon élève, drôle. Il était parfait... pour mes parents. Moi je rêvais d'un musicien, d'un fouteur de gueule qui porterait une veste en cuir, une chemise à carreau et avec qui je pourrais faire les 400 coups. J'avais maintenant 18 ans. J'étais libérée de mes études. J'ai aussitôt quitté ce petit ami parfait pour ce bad boy qui ne plaisait pas du tout à mes parents.

CHAPITRE IV ; bienvenu dans le monde des adultes, c'est horrible, régale toi bien...

Ça y est, j'avais 18 ans, j'étais à l'aube de l'âge adulte. J'ai du songer à faire des études et je me suis orientée vers la photographie. C'était génial. J'ai réussi toutes mes années et je me suis installée avec mon bad boy qui était musicien et qui rêvait de percer. J'ai quitté mes parents, j'ai trouvé du boulot, j'étais grande et indépendante. Jusqu'à mes 20 ans, j'ai tenté d'arranger les choses avec mon amoureux parce qu'il ne foutait rien, et un jour, j'en ai eu marre, j'ai pris mes affaires et je me suis cassée. Je suis retournée un petit temps à la maison et là j'ai appris que maman était malade. Je suis restée avec elle jusqu'à la fin. Pour me remercier? Du fric, encore et toujours. Ça ne comblait pas grand chose. Papa était toujours là mais maman me manquait. J'ai repris le travail peu après. Je suis restée avec papa jusqu'à mes 22 ans et ensuite j'ai cherché un appartement à Manhattan, afin de reprendre mon indépendance. J'étais célibataire. J'étais redevenue accro au shopping. Dieu merci, je n'ai pas encore de dettes mais ça ne saurait tarder. 24 ans, photographe de mode, célibataire, sans mère... je sens que je replonge, petit à petit. Vite, quelqu'un pour me sortir de cet enfer et de ce trou profond.