aiden neil Wheeler

“When you see my face hope it gives you hell, hope it gives you hell when you walk my way hope it gives you hell, Hope it gives you hell ”

NOM & PRENOM(S) : Aiden Neil Wheeler. SURNOM(S) : Aidy par January, autres au choix. ÂGE : 31 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : au choix à New-York. ORIGINE : Américain. ÉTUDES OU PROFESSION : avocat. SITUATION :divorcé. GROUPE : NO STRING ATTACHED. AVATAR : Ryan Gosling NÉGOCIABILITÉ : négociable.

Ҩ someone like me

❖ 001. extraverti. ❖ 002. dynamique. ❖ 003. blagueur.
❖ 004. dragueur. ❖ 005. impulsif. ❖ 006. libertin.

❖ IT'S MY LIFE : L'histoire et relativement libre, juste deux trois trucs à respecter : Aiden est né dans une famille assez riche, il est fils unique ❖ il a toujours était du genre dragueur ❖ il était très bon en cours et a réussi ses études avec brio ❖ il a était marié cinq ans à January, mais la dernière année il n'était pas du tout fidèle ❖ Il a une fille de quatre ans, Sloane dont il n'a pas la garde, même pas la garde partagée parce qu'il a laissé January décider des conditions de divorce ❖ Il veut voir sa fille et est près a tout pour ça.ng

Ҩ you and i, on the road for NYC

« J’ai vingt-quatre ans … » « Ha oui ? Moi vingt-cinq … » « Ho zut, j’étais sûr que vous étiez plus jeune que moi ! » « Je croyez que vous en aviez vingt-quatre … » Elle attrapa son cocktail qu’elle agita avec la paille comme une dépressive, avec cette mine boudeuse qui lui allait si bien. « C’est ce que je dis toujours, pour passer pour une jeune … Mais je suis vieille … » Il leva les yeux en l’air avant de sourire à la jolie rouquine. « N’importe quoi, je vous donne pas plus de vingt-quatre ans … » Elle releva les yeux vers lui, le regard pétillant. « Vraiment ? » « Absolument. » « Mais j’en ai vingt-neuf … » « Et ça c’est vieux ? » « J’ai presque trente ans et je suis toujours célibataire, c’est nul … » « Vous avez encore largement le temps de vous trouver quelqu’un … » « Vous croyez ? » « Bien sûr. Allez, je vous paie un verre ? » « Ho, oui, merci … » Ils s’étaient rencontrés dans un bar, une soirée comme les autre ou chacun de leur côté était venu voir si l’âme sœur ne trainait pas quelque part dans ce célèbre bar de Manhattan. Ils s’étaient trouvés, et malgré leur différence d’âge, ils continuèrent à sortir ensemble, jusqu’à former un joli petit couple.

« Jane, t’es bizarre ce soir, y a quelque chose qui va pas ? » « Hum ? Non, non ça va … » Elle jeta un coup d’œil autour d’elle. Ils étaient dans un grand restaurant dans lequel l’ambiance était on-ne-peut-plus romantique et que le plat le moins cher excédé presque les cent dollars. La dernière fois qu’elle avait mit les pieds dans ce genre de restaurant, son ex-mari lui avait demandé de l’épouser, forcément, elle était stressée par ce souvenir. « Alors ta journée ? » « Tranquille, y a pas eu beaucoup de visite aujourd’hui … Et toi ? » « La routine, une femme qui voulait porter plainte contre une marque de lessive … passionnant. » « C’est là qu’on voit qu’on est en Amérique, les gens portent plainte contre tout et n’importe quoi .. » « Ouais et la plupart du temps ils gagnent … » Elle rigola légèrement, finalement, le stress était parti aussi vite qu’il était venu. C’était souvent comme ça quand elle était avec Aiden, il suffisait qu’il commence à lui parler pour qu’elle oublie tout ses tracas. Finalement, le diné se déroula parfaitement bien, jusqu’au dessert en tout cas. « January, faut que je te demande quelque chose … » « Ha oui ? » Nouveau pic de stress alors qu’il la fixait droit dans les yeux et qu’il lui tenait la main. « est-ce que tu voudrais …. » « Je suis enceinte ! » « m’épouser … » Ils avaient parlé en même temps et maintenant un léger silence commençait à s’installer entre eux. « Tu m’as toujours dit que tu n’envisageais pas d’avoir des enfants avant quelques temps encore … Mais moi j’ai déjà trente ans alors je veux garder cet enfant et je veux t’épouser aussi, mais est-ce que toi tu le veux encore maintenant que je t’ai dis ça ? » Il se contenta de sourire avant de sortir un écrin de sa poche et de passer la bague qu’il y avait dedans au doigts de la jeune femme.

« Aiden, dépêche toi, on va être en retard ! » « J’ai travaillé tard hier soir, laisse moi dormir … » « C’est hors de question, c’est l’anniversaire de ma mère alors tu viens ! » « Mais ça va être chiant va y avoir trop de monde » « N’importe quoi, juste mes frères et sœurs ! » « Ouais, plus leur conjoins et leurs mômes … » « C’est ma famille, soit un peu plus respectueux avec eux ! » « Je suis crevé ! » « Ouais tu as soit disant travaillé tard, on y croit tous … » « Pardon ? » « Me prend pas pour une conne, tu travailles tard quasiment tous les soirs depuis quelques temps et tes vêtements pus le parfum pour fille ! » « Mais tu divagues là ! » « Ouais, c’est toujours moi le problème de toute façon ! » « Oui voilà, c’est tout à fait ça, alors va chez tes parents et fout moi la paix ! » Quatre ans de mariage et voilà déjà des mois qu’ils ne se parlaient plus que comme ça, qu’ils se reprochaient tout un tas de choses, qu’ils n’essayaient même plus de communiquer. Finalement, ce jour là, elle avant emmené sa fille avec elle et elle avait passé la journée avec sa famille, quand elle était rentré, il était en train de glander devant la télévision, apparemment, pour ça il n’était pas fatigué.

« Aiden, qu’est-ce que tu fais ici ? » Il n’ajouta pas un mot avant de s’installer en face d’elle, il était venu jusqu’à son bureau, il devait lui parler. Il déposa une enveloppe marron sur son bureau et la fit glisser vers elle, le genre d’enveloppe qui en dit long rien qu’à son apparence. « C’est quoi ça ? [/color]» « J’ai couché avec ma secrétaire, avec une fille rencontré au bar aussi, avec la nourrice et avec une de tes sœurs . » Elle resta paralysée quelques instant, le teint devenant livide, son regard froid posé sur son mari. Sans le lâcher du regard, elle attrapa l’enveloppe qu’elle ouvrit pour en tirer les papiers qui étaient dedans. Elle baissa finalement les yeux sur la feuille et très vite elle eut une folle envie de commettre un meurtre. « Un divorce par …. » Elle se leva avant de taper un grand coup sur son bureau « Un divorce par consentement mutuel !? » Vu comment elle avait crier, tout le musée devait avoir entendu, mais tant pis. Lui il resta là, assis dans sa chaise, avec ce regard sûr de lui. « Tu te fous de ma gueule ? Tu te pointes avec tes papiers de divorces et la liste des filles que tu t’es tapé dans mon dos et tu crois que je vais signer ça ? Tu as couché avec laquelle de mes sœurs !? » Il soupira. « Ça n’a pas d’importance January, signe et on en parle plus. » « Ça a de l’importance pour moi grand con ! Je signerais pas un divorce par consentement mutuel, je vais prendre un avocat ! » « Je suis avocat Januray, ça rime à rien …. » « Va te faire foutre ! Sort de là avant que je t’assassine ! » Il s’exécuta. Le soir quand elle rentra chez elle, toutes ses affaires avait disparu, il était sans doute parti s’installer dans un appartement de célibataire ce con. Elle s’empressa de renvoyer sa nourrice, pas question de laisser sa fille à une putain qui s’était tapé son mari. Elle engagea un avocat et se lança dans un divorce difficile, finalement, Aiden lui donna tout ce qu’elle voulait et le divorce fut prononcer.

« Aiden ? Qu’est-ce que tu veux ? » « Je viens voir ma Sloane. » « C’est pas le moment là … » « January, c’est aussi ma fille ! » « Une fille qui sera si fière de toi le jour où elle apprendra que t’as multi-cocufié sa mère ! » « Elle ne doit pas payer pour mes erreurs. » « Ho non, crois moi, elle ne paiera pas pour tes erreurs, tu paieras, dégage maintenant » « T’as pas le droit de m’empêcher de voir ma fille ! » « T’as signé, tu m’as donné la garde complète de Sloane. » « Je sais je suis avocat, mais cette signature ne veut pas dire que je n’ai pas le droit de la voir ! » « Repasse plus tard alors » Sur ces mots, elle lui claqua la porte au nez. « January ! » Elle ne répondit pas. Il n’eu pas d’autre choix que de quitter son ancienne maison, elle avait gagné pour cette fois, mais comme dit le proverbe, elle avait gagné la bataille, pas la guerre, il ne la laisserait pas l’empêcher de voir sa fille qu’importe les moyens qu’il devrait utiliser pour la faire céder.